Quête de Noel

Suite du précedent sujet de vincento.
Lequel monstre surprit par la flêche se retrouva coupé en deux au niveau de la taille. Vonkluth avançait en courant, couvert par les fêches de Silsifar, l'épaule gauche en avant avec une posture semblable celle des samouraïs sur le point de dégainer leur sabre. Il avançais ainsi jusqu'à rencontrer un des minotaure. Le shaman était dangereux et Vonkluth n'avais pas de temps à perdre avec se monstre.

*Au revoir mon gros*

Il prévint Astarot qui semblait alors s'ennuyer. En utilisant toute sa force, il congnait le monstre d'un revert de la main gauche. Ce dernier s'envola en direction de l'aventurier avertit. Droit devant lui se dréssait une montagne armée d'une enorme masse. Vonkluth accéléra le pas, donna un coup de pied dans une pierre qui se trouvait sur son chemin et destabilisa le monstre qui se prit la pierre dans la tête. Et d'un mouvement oblique allant vers le haut il coupa en deux la pauvre bête, la saisit par le cou de la main droite et bondit en tenant la moitier du montre pour se protéger des javelot. Puis il lacha son bouclier et tomba sur le shaman en cherchant un objet dans sa sacoche. Le shaman riposta vivement mais il ne produisit qu'un ridicule petite étincelle. Vonkluth bradissant son poing, tenait un parchemin en feu. Il abaissa énergiquement son poing sur le crane du shaman qui produisit un son peu commun.

-Dommage pour toi.

Debout sur le rocher où se tenait le shaman au crane broyé, Vonkluth observait la scène. Quand soudain son attention fut portée plus loin dans la foret. Il hésita un moment puis décida d'avancer seul. Il ne restait plus beaucoup d'ennemi: ils pourront s'en sortir s'en lui et la vie du moine était tout de même plus importante que la leur. Et il s'aventura seul dans la foret.

Silsifar fut surpris par la puissance de ses traits. Il se mit à en décocher à un rythme d'enfer sur les monstres.
Le départ de Vonkluth ne l'inquieta pas outre mesure, pas plus que l'arrivée d'autres monstres.
Le combat n'était pas quelque chose d'effreyant pour le vampire.Excitant à la limite, mais ce combat là ne l'était pas vraiment. Seul à la limite mais à 4...

Astaroth rousselant de sang rangaina son épée, ramassa ça dague et sortit son arc. Tirant dans les fourrés, sa flèche se perdit dans les bois.Un cri retentit : Vonkluth !
Astaroth avança vers le traître, qui avait la flèche dans la jambe, tout en s'essuyant le visage de son sang.

-Lache !

Il sortit sa dague, mais au moment d'achever le pleutre qui avait laisser ses compagnons seuls, un cri se fit entendre.

HS: Stefan m'a dit qu'il n'était pas là pour le moment, vous pouvez donc continuez la quete sans lui! A toi Vonkluth!

Vonkluth retira la flèche regarda derière lui et vit Astarot S'approcher de lui une dague a la main. Vonkluth se releva prit une dague et la lança en direction d'Astarot. La dague passa juste au dessu de ses épaules et se planta dans la gorge de homme aux jambe de bouc. Puis des lamentation se firent entendre :"Où sont ils ?". Vonkluth regarda Astarot sous sa capuche.

-Retourne les aider, ils n'y arriveront pas seuls. Quand a moi je sais ce que je fais.

Puis au loin, un deuxième cris se fit entendre. Vonkluth se retourna, poussa un cris de colère et n'attendant pas l'approbation d'Astarot, il reprit sa course.

-Ne me dérange plus et s'il lui arrive quelque chose tu en sera tenu pour responsable,cria-t-il à l'intention d'Astarot.

Silsifar vit son protégé partir vers les bois. A tou les coups il voulait tout regler seul et partir enuite, en vagabaond qu'il était. Apparement les autres n'avaient pas compris ça ainsi et le Von Carstein ressentit que la mutinerie était proche. Il s'en amusait d'avance.Un cri puissant s'échappa et Silsifar sourit interieurement.Exterieurement il avait sursauté. Mais bientôt le dénommé Astaroth ressortit des bois donc apparement la plaisenterie serait pour plus tard. Comme il n'était pas blessé et que Vonkluth n'avait pas crié, et ne l'aurait jamais fait face à un humain, le cri provenait sûrement de quelqu'un d'autre. Si le moine l'avait poussé, c'est qu'il était proche. Silsifar s'envola donc d'un bond immense et plutôt majestueux vers Astaroth. Il dit;

-Que s'est il passé dans la forêt? Où est passé l'encapuchonné? Qui a poussé ce cri?

Puis reprenant son calme, il sortit sa lance. Puisque Vonkluth était partit, il pourrait s'en servir pleinement.

-S'il faut se battre je le ferais, mais hattons nous. Je vous suis.

Mais, tandis que Silsifar finissait de parler, un hululement se fit entendre. Puis un autre. Un autre encore. Il sortit alors des arbres une cinquantaine d'humanoïdes, encapuchonnés et habillés de vert sombre. Ils avaient des arcs, et il semblait bien que quiconque bougeait serait abattu sur-le-champ. C'était les asrais, les elfes sylvains du Drakwald. Un d'eux sortit du groupe et s'avança vers les aventuriers.

-Vous seriez déjà mort depuis longtemps étrangers, si nous n'avions vu le carnage que vous avez provoqué chez nos pires ennemis.

En prononçant ces mots, il indiqua les cadavres des hommes-bêtes.

-Quel est la raison de votre présence en ces lieux humains? Si votre excuse est honorable, nous vous laisserons passez. Sinon...

Les elfes des bois semblèrent alors tendre un peu plus leurs arcs, prêts à faire feu...

Astaroth ne pouvait s'empêcher de penser à Vonkluth. Se n'était pas un bon acteur car sa plaie avait guérit en quelque secondes. El la flèche lui avait quand même traverser la cuisse. Vonkluth était un vampire. Un imonde rejeton de Nagash.
A la vue des asrais Astaroth prit la parole pour ses compagnons en leur parlant en elfique.

-"Nous sommes à la recherche d'un moine sigmarite capturer par des hommes-bête. Se serai un imense honneur de traverser vos bois. Je vous assure que nous respecterons la forêt. J'ai deja traverser Atel Loren et...

Il n'en dit pas plus, se tenant la main droite, toujours recouverte d'un gant. En effet le mal qui le rongeait était plus ancien et plus vieux que celui qui hantait ses bois.

HRP=Volkmar, tu joues Stefan ou je passe son tour, et il n'existe plus? Je me permet de demander ici afin que les autres joueurs soient aussi tenus au courant. Merci d'avance.

HS: pour l'instant, il passe son tour, mais il existe toujours dans la quête.
A toi Vonkluth!

Une ombre de peur passa sur le visage de Silsifar. Si tout ces nouveaux venus découvraient qui il était, il devrait compromettre sa mission en les tuant tous ce qui lui deplaisait. Le vagabond avait assurement beaucoup voyagé et cela leur sauverait peut etre la mise.Il ajouta avant que ce dernier n'ai fini sa phrase;

-Mes prières sont exaucées, nous ne sommes plus seuls dans cette foret de prime inhospitalière.Sans vouloir vous vexer, sires Elfes. Je n'ai rien contre votre forêt mais les créatures qui la hantent me déplaisent assez. Nous sommes ravis-
il jeta un coup d'oeil vers les autres afin de voir si ceux ci acceptaient qu'il devienne le porte parole, puis tourna la tête vers ces interlocuteurs-
d'avoir pu vous être d'un quelqconque utilité en défesant ces viles créatures. Comme vous l'a dit mon...
-il hesita legerement mais il fallait paraître soudés et sur de nos intention pour faire bonne figure en ses lieux-
ami, nous traversons vos bois sans viles intentions, nous souhaitons sauver un moine au rôle déterminant capturé par des hommes-bêtes il y a peu. Plus nous nous attardons ici, et plus sa vie est en péril. Nous savons que vous êtes occupés, aussi nous n'aurons pas l'audace de vous demander votre aide dans cette chasse, mais il nous faut traverser ces lieux et nous vous demandons humblement de bien vouloir nous laisser traverser vos terres.

Les elfes se regardèrent, et parlèrent ensemble. Cependant, les aventuriers étaient encore braqués par une trentaine d'arc. Celui qui paraissait être le porte-parole, et qui avait déjà parlé tantôt, s'approcha de nouveau près des trois hommes.

-Hum... Vos intentions vous honorent. Il est vrai que les vils hommes-bêtes semblent fort agités ces derniers temps. Ils se sont rassemblés au nord-est. Et ils ont apparemment un prisonnier...

Les trois hommes se regardèrent. Ce pourrait-il que... ? Mais, avant qu'ils ne puissent poser la moindre question, les elfes sylvains avaient disparus comme par magie!

HS: Laissez maintenant Stefan répondre SVP!!

Au nord-est...Astaroth avait eu raison et alors que Vonkluth,Le Traître allait au sud , ils le devenserait.
Il versa une potion sur son bras et la douleur sa calma...

*Pourquoi me renit-tu...Assez !

-En route !

hj: dsl... ^^'

Stefan avait suivit la scène avec les elfes silencieusement, rangeant son épée par "prudence diplomatique", il n'avait dit mot et aucune expression ne se dessina sur son visage. Pourtant, le comte-electeur se méfiait des étrangers, et ce qu'il avait entendu dire des ces "elfes sylvains" lui avait appris a s'en méfier...
Lorsque ceux-ci disparurent, il souffla de soulagment.

_Bon ! et maintenant ? nous ne sommes plus que trois, mais cela ne va pas nous empecher de sauver le moine, non ?

HRP : Astarot, édite ton dernier message et on pourra continuer

Volkmar: de 1, tu pourrais envoyer un MP.DE 2, je ne vois pas le probleme...

Désolé, quand a toi astarot, désormais tu est sur ma liste noir.

Sujet :
Vonkluth continuait sa route en direction du grand point de rassemblement homme bête. Il n'entendait plus les cris d'agonnie des monstres qu'il avait quitter. Il pensa que les boulets qu'il trenait avait réussi a s'en tirer sans lui. Puis il s'arrêta. Il regarda derière lui, il était bien loin devant eux. Il sortit de sa sacoche un bout de charbon, arracha de l'ecorse et y incrivit une note. Il cracha dessus et le cacha dans un buisson. Vonkluth examina sa jambe qui auparavant était bléssée puis reprit sa course.

-Comme ça, le sale chien retrouvera ma trace.

"Et bien je propose que l'on suive celui qui a deja voyagé en ces lieux.Cela ne pose de problèmes à personne?"

Du fait, cela ne posait aucuns problèmes à Silsifar et c'était la seule chose qui comptait.Tout en débandant son arc et en l'accrochant dans son dos à l'aide d'un bout de tissu coloré pris sur le chaman, Silsifar pensait.

*Décidement les Elfes sont de pitoyales créatures. Ils ne peuvent intervenir qu'en groupe, menaçant quiquonque bouge de le cribler de flêches. Ils ne sont même pas capables d'envoyer un émissaire à la fois puissant et diplomates. Leur peuple doit se sentir bien ridicule de ne posseder que des faibles dans ses rangs. Non mais franchement... Il interviennent puis repartent la queue entre les jambes quand ils s'apperçoivent qu'a nous trois nous pourrions tous leur faire la peau. Je suppose que cette engeance de lâche va nous espionnerà distance respectale, en s'immagiant si discret qu'aucun d'entre nous ne puisse seulement les remarquer...*

C'est en ruminant ces sages pensées que Vincento Valentine attendit une réaction de la part de ses "compagnons".

O infortune! Alors que Vonluth, séparé du reste de ces compagnons, un immense guerrier en armure noir comme les profondeurs de la nuit sortit du bois maudit et s'avança vers lui, la mine menaçante, une épée terrifiante à la main.

- Qui donc es-tu misérable vers?

Pendant ce temps, alors que les aventuriers ne savaient où aller, ni quoi faire, le hurlement entendu quelques temps plutôt se refit entendre, aussi terrible et angoissant qu'il était possible. Un véritable cri d'agonie et d'horreur... Les sombres frondaisons résonnaient de ce son terrifiant, ce cri cauchemardesque. Plus un bruit, plus rien. Rien que ces ténèbres angoissantes.

HS: Vonkluth, ne tue pas le type, il va te servir. Et vous autres, si vous voulez le cri c'est le moine. Ou ce que votre imagination délirante trouvera de mieux...

Astaroth se présipita vers l'endroit d'où le cri. Il vit le moine allonger, une lance planté dans les flanc. Des traces prouvait qu'une petite troupe d'homme bête se trouvait là. Il s'approcha du moine et prit son poul.

-Il est mort.

Il remarqua ensuite que le moine cachai un éspèce de collier, autour du cou, sous ces vêtement. Il le prit : un talisman !

-Au moin les hommes-bête nous ont laisser un cadeau.

Ps Vonkluth je propose de fair une trêve ?

Stefan Cel Màre suivît Astaroth en courant et arriva en même temps que lui sur le lieux où le pauvre moine était étendu dans la boue, gisant dans une morbide flaque de sang pourpre mélangé à la terre trempée.

_Et bien il me semble que nous ayons échoué, s'il est bien mort, maître Astaroth...

Puis respirant l'air alentour, il sentît une présence ennemie, et sortant brusquement son épée, il se tînt sur ses gardes.

Un coeur c'était tut. Un humain venait de mourir. Il poussa un cri de rage qui resonnat au loin. Quelqu'un vennait de mourir et pourtant un homme avait été capturé par les hommes bêtes, une personne avec un esprit religieux très fort. Il pria pour que le cadavre soit celui d'un garde du corp. Le guerrier se croyant terrifiant abattit son arme sur Vonkluth qui la dévia d'un revert de la main et désequilibra l'assaillant. Vonkluth l'attrapa par le cou le souleva et le plaqua contre un arbre.

-Je ne suis pas d'humeur alors c'est moi qui pose les questions. Tu as l'air d'habiter ces lieux, je veux connaitre le nombre exacte de monstre se trouvant dans ce camps, se dont je doit me méfier et si tu as aperçus un humain parmis leurs captures, je veut savoir ce qu'il portait. Une fois que j'aurais mes information tu pourras partir...

Vonkluth empoigna deux couteaux et les lança derrière lui, deux monstre, intrigués par son cris de colère c'étant approchés, venait de mourir.

Silsifar observa le cadavre d'une manière qui se voulait anxieuse. Il ne cessait de se tordre les mains. Quand Stefan sortit son épée, il ajusta sa prise sur sa lance de façon bien voyante etjeta des coups d'oeil dans toutes les directions.

-Eh! Vagabond! dit-il. C'est bien notre moine? Il est mort, hein? Qu'est ce qu'on fait maintenant?! Les monstres vont nous attaquer de toute part, on va y laisser des plumes!

Le comte vampire était perplexe, interieurement. La mission était compromise. Il en comprenait pas bien en quoi le message du moine aurait pu contrarier ses plans de quelques manière, mais il ne pouvait laisser aucuns doutes. Si le message était vraiment capital, Vincento ne pouvait que se déplacer en personne; il ne faisait confiance à personne. Maintenant que le moine était mort, une grande curiosité s'abatit sur le vampire. Il se doutait que le moine mourrai mais rien ne laissait prevoir la suite des évenements. Il attendit donc que quelque chose se produise.

Et oui le malheureux moine avait péri. La mission était donc compromise! Et son secret était parti dans la tombe... Qu'avait-il apprit de si grave pour trépasser ainsi? Peu importe, on ne le saurait probablement jamais... Mais, alors que Astaroth tripotait l'étrange talisman, des yeux rouges se révélèrent. Une harde d'hommes bêtes, plus féroces que ceux de tout à l'heure sortit des bois, prêt à massacrer les intrus. Mais, avant que les trois aventuriers puissent faire quoique ce soit, une lueur rougeoyante fut émise par le bijou. Mêlé au sang du moine, et réchauffé par les mains du vagabond, le pouvoir du diadème se réveilla. Tous les hommes-bêtes furent alors transformés en amas immonde de chair et de fluides vitaux, en poussant des hurlements inhumains.

Plus loin, le guerrier du chaos capturé par Vonkluth poussa ce qui semblait être un rire sadique et mauvais.

-Tu entends ces cris? Ce sont probablement tes amis qui souffrent. Tout est ta faute... Tu les as trahis!

Astaroth regardaient les être transformer en purée de chair par cette étrange talisman. Etait-ce sa main droite corronput, qui avait réveiller le talisman ? Le sang du moine ? Ou les deux ? Son bras droit commença à le brûler et à remuer dans tous les sens.

*Pas maintenant !*

Il prit son bras fou et le sera contre lui.

*Calme toi. Doucement.*

Il versa le contenu d'une fiole étrange sur son bras et celui si se calma. Il se tourna vers les autres d'un ton grâve:

-Oubliez sa , d'accord !

-Bon aller ! Cel Màre, prenez ce talisman. Moi sa risquerai d'être dangereux. Silsivar, couvrez nos arrière et restez aux agaix et n'ayez pas peur. En route, on a encore une longue marche pour sortir de la forêt. Et depêchons-nous. J'aimerai sortir de là avant la nuit.