Vieux quartier, auberge du "rat qui pisse"

Quête pour la guilde des ombres.
Autorisés; membres guilde des Ombres + invité mystère.
Consignes;bonne écriture, 10 lignes minimum. edit si le Mj voit incohérence, pas de Mp entres joueurs ou le moins possible(communiquez en Rp)

Le vieux quartier se situe à la périphrie de la ville. On l'appel vieux quartier d'après son état de délabrement. Il ne fait pas bon vivre ici, l'air empeste l'odeure d'urine, de vinasse et de cadavres. Ceux d'ici sont affalés dans les rues en quêtes de pièce à mendier ou de rats à manger.Heuresement ces derniers ne manquent pas.
Un établissement aussi branlant que les autres, au milieux d'une ruelle qui n'est pour ainsi dire jamais éclairée par la lumière du soleil. De toute façon il fait nuit noire. L'auberge du "Rat qui pisse" fait autant office de bar à mauvais alcool que de bordel. Le lieux est bondé, un mélange d'odeures écoeurantes flottent ici.
Quelques torches éclairent mal la taverne(appelée auberge pour les trois pailasses infestées de puces placée dans un pièce à part) et c'est un lieux trés prisé par les voleurs. Bien qu'il n'y ai ici personne de riche à voler, ils sont légion et profitent que les femmes de plaisir se frottet contre eux pour les détrousser du peu qu'elles ont gagnés.
Les angles ne profitent pas de la lumière des torches et sont aussi sombres qu'un ciel de nuit sans lune.

HS: J'ai déplacé ton topic pour le mettre dans les quêtes. C'est ici qu'il est à sa place. Bonne chance pour la quête

Astaroth fit son entrer et un silence se fit comme si il était un revenant. Cela devait faire 75 ans qu'il était passé ici. il était ivre et délirait sur sa ville mit à sac. Il s'assit près d'Angel. Et comanda un tord-boyaux très fort. Il s'adressa au contact:

-Alors ? Cette mission ?

Citation :

Venez armé. _D...

La foule était incroyablement dense dans se quartier, Vonkluth ne comptait même plus le nombre de main deçue qui plongait dans ses poches aussi vide que le verre de bierre d'un nain. Il entendait venir d'impasses des coups de feu, suivi du silence qu'offre habituellement la mort, des imnes d'ivrognes, des insultes, des menaçes de meurtre et la foule ne bronchait jamais, trop habituée semblait il, à ce genre d'évènement. Vonkluth comprit alors le sens des mots, venez armé, même s'il n'en avait pas vraiment. Il arriva devant le porte de l'Auberge du rat qui pisse. Il attendit un instant. Quand il se decida a entrer, un "passant" le bouscula, mais cette fois plus audacieux, fouilla les poche interieur de Vonkluth. Le vampire lui prit la main comme s'il allait la serer, une marque de politesse, et sourit.

-A l'avenir, sois plus discret

Il lui broya la main et le laissa filer.

Il entra dans l'auberge, les activités ne s'arretèrent pas, pas cette fois çi. Il reconnu l'Ombre du chaos, et le nouveau qu'il n'avait encore jamais vu a l'action. Vonkluth avait prit son apparence de Vampire. Il hocha le tête en signe de salue aux deux Ombres et se placa devant la sorti an cas de problème, a vrai dire, les formalité administrative n'était pas son fort et il ne voulait pas s'embrouille la tête avec ce genre de broutilles. Monta la garde tout en ecoutant de la ou il était la conversation avec le contact.

Les deux compère s'assirent donc à leurs dépents aux côtés d'un homme endormit.
Une main se posa sur l'épaule de l'ombre du passé et on lui chuchota:
"Crie le plus fort, personne ne t'as entendu. Suis moi, toi et ton pote."

Puis il passa le seuil de la porte, en haussant un sourcil à la vue de Vonkluth. Il continua sa route à travers la populace grouillante, ne se tourna pas une fois vers ses contacts. Il était de taille moyenne et de corpulence athletique. Un bon nombre de cicatrices lui zebraient le visage, son crâne était rasé et il portait une sorte de barbe naissante. Rien de son attitude ne laissait penser qu'il avait peur.

Il déambula quelques temps à travers le dédale de rues. Les rue retréssissaient à mesure, il était impossible de marcher à deux de fronts entre le murs branlants de maisons tant la chaussée était étroite.
La petite bande arriva bientot à un cul de sac. Des torches éclairent l'endroit et une sorte de plafond en toile recouvrait le tout. Le cul de sac s'était aggrandi, de sorte que le tout formait une sorte de petit salon glauque.
Un grand fauteuil en forme de main se refermant était placé au fond de la ruelle. Des chaise de mauvaise factures étaient disposées ça et là, et une petite table basse- un volet placé sur un rondin- était placée devant le fauteuil central.
L'homme aux cicatrice s'assit dans son fauteuil et disigna les chaises aux Ombres.
Il daigna enfin leur adresser la parole.

"Nous vous avions choisit pour votre discretion. Ne refaites jamais d'erreurs de ce genre ou votre esperance de vie pourrait s'écourter. Immortels ou non."

Une flêche traversa alors la toile et se panta dans l'un des "doigts" du fauteuil au dessus du contact, juste au dessus de sa tête.

J'ai besoin de parler aux trois ensemble. Attendons que votre ami se joigne à nous.

Astaroth lança un regard à Vonkluth qui voulait dire "Te voila !". Il avait sortit son couteau et s'amusait à le faire tourner en l'air avant de le recptionné. Son dos le piquait de plus en plus : la transformation approchait. Il mit ses yeux de démons (yeux sans pupille entiérement noir) et s'adressa au contact avec sa voie de démon.

-Crois-tu vraiment avoir en fasse de toi n'importe quels mercenaires ? Nous sommes les ombres, nul ne peut nous résister !Entre nous et nos enemis !

L'homme aux cicatrices observa les réactions des mercenaires avec un sourire de pitié figé sur ses traits. Puis, brusquement il ouvrit son manteau dans un geste theatral,son bras droit s'y engouffra et en ressortit aussitot, la main tenant un petit flacon de verre.( ce qui n'est pas chose aisée quand on est assis!) Il le lança dans le même mouvement, aux pieds de l'une des Ombres. L'eau bénite éclata aux pieds des créatures nocturnes, éclaboussant leurs bottes, sans plus.

"Je sais qui vous êtes, pas d'inquiétude là dessus. Je sais comment tuer des fils de la nuit, et vous vous êtes encores bien jeunes. Ne sous estimez pas les mortels, vous pourriez le regretter."

Puis son attitude se fit plus amicale. Il sourit.

"Je me nomme Lienard, je suis aux sevrices d'un homme dont vous n'avez pas à connaitre le nom. Disons, qu'il n'apprécie guère le "seigneur" autoproclamé des vampires. Votre mission consiste, disons.... A lui nuire. Sa mort est même envisageable. Avant de vous en dire plus, je dois savoir si vous acceptez ce que l'on vous propose."

Il claqua des doigts et deux femmes en haillons et vêtements provoquants firent leur apparitions. Elles semblaient regarder ailleur, commes hallucinées.
"Vous désirez boire quelque chose?"

Les femmmes n'apportaient pas la boisson. Cette invitation macabre à sucer le sang des prostituées étaient d'autant plus sordide qu'elle était faite sur un ton courtois et plaisantain.

Cet homme exaspéra Vonkluth, non seulement il osait les provoquer, mais en plus il leur cachait des informations. Vonkluth regardait le flacon d'eau bénite tombé au pied de l'Ombre du Passé, cet homme avait préparé ses arrière. Et puis quelle était le but de cette mission ? Nuire à Vincento Valentine ou se faire tuer par ce dernier ? Dés le départ, Vonkluth n'avait pu sentir ce type, là il perdit patience. D'un mouvement brusque, il décroisit les bras entrainent un couteau dans la direction du contact. Profitant de cette diversion, il se faufila entre les deux autres Ombres, dans cette allée pourtant très étroite. Enfin, un son se fit entendre depuis qu'il s'était déplacé : d'un mouvement il dégaina son sabre et placa sa lame contre le coup de l'homme qu'il lui avait perdre patience. Il attendit un instant puis dirrigea son regard vers celui du contact. Il n'avait pas l'air appeuré.

-Toum-Toum...Toum-Toum...Toum-Toum... Vous l'entendez ? Le rythm de votre coeur, il est lent, calme n'est ce pas, vous devez être habitué à ce genre de situation. Mais moi, je trouve qu'il bat encore trop vite. Je pourrais, disons...Le ralentir d'un simple mouvement, après tout, n'est pas la raison de mon nom. L'Ombre de la Mort, la voir c'est mourrir, après tout ceux que j'ai tuer pendant six cent ans, ce nom ne m'est il pas légitime à moi, le meutrier des vampires ?... Mais, revenons à nos moutons...

Vonkluth colla la lame de son sabre avec un peu plus de force sur le cou de l'insolant, de sorte que le moindre dérapage de Vonkluth mette fin a la vie de l'homme aux cicatrices.

-D'abord, et je pense que c'est également le cas pour les deux autres Ombres qui sont avec moi, je ne travaille jamais sans connaitre: 1/Le nom de mon employeur(pas celui de ses sbires, 2/Le véritable but de ma mission, 3/Les contraintes et risques de ma mission, et 4/ La récompense que m'offre mon employeur. Sans quoi, vous ne pourrez rien attendre de ma part...Vous pouvez nous repondre calmement et ma lame se retira d'elle même, ou alors, j'entend une irrégularité dans votre rythm cardiaque et vous perdez la tête, c'est a vous de choisir...

Vonkluth n'était pas quelqu'un de très passible, ce q'il venait encore une fois de montrer...

Angel ne se souciât guère de l'eau bénite qu'il avait pris sur les pieds, il était fasciner par la diplomatie de son collègue.

*Je ne me serais pas embarrasser de lui poser la question ! Les zombies oubli vite des choses mais moins d’une heure après leur mort il vous dise tous ce qu'il savait de leur vivant si vous leur demander ! Je haïs les humain trop sur d'eux.*

Angel se mit à sourire.

"Je crois que mon éminent collègue vient de montrer où se trouve le vrai danger des ombres ! En plus de six siècles, aucun être vivant ou non à réussit à mentir à la lames de sir Vonk !"

[Angel utilise des noms réduit pour garder une part d'anonymat dans leur rang, ainsi l'on a ici sir Vonk, sir Astar et sir Ange !]

-Oh Oh, vous le prenez sur un ton! Les jeunots, ne vous méprenez pas. On fait appel a vous parce que l'on ne veut pas se bouger en personne. Vous êtes des mercenaires, autant dire de la merde. Je me fou de vos noms, soit vous bossez, soit vous allez galérer quelque part, sans moi.

L'homme avait quitté sa tête de fausse bonhommie et reprenait son ton normal, hargneux et froid.

-Mais, trés bien. Vous voulez connaître les risques? La mort. La vrai. La définitive. Le nom de votre employeur, considérez que c'est moi, je ne reviendrai pas dessus. Votre récompense? Je ne peux vous la donner, mais il est probable qu'en plus vous gagniez quelques jolie femmes, ou des beaux sacs remplis de gemmes. Quand au but de votre mission, c'est un assassinat, on ne fait pas appel à vous pour chercher les chats dans les arbres.

Lienard regarda la compagnie d'un air lassé. Il devait pensé qu'il avait fait appel à des amateurs, en tout cas, il était encore moins sûr qu'au début de la réussite de la mission, sans compremettre son employeur.