Le bal d'arrivée de damme Patience et de sa suite.(treminer)

Vincento sourit quand il vit le piège se fermer sur lui. Apparement il n'était pas entierement improvisé. Quand le jeune et faible vampire lui adressa la parole il rugit:

"-Ta gueule petite merde!"

Sans même prendre la peine de se retourner. Il se teleporta litteralement aux côtés de la jeune femme, aucun oeil n'aurait pu suivre la vitesse de son déplacement. Il prit la jeune femme et la saisit à bras le corps.
L'eau bénite le brûla plus que de raison, et des lambaux de chairs se déachèrent de l peau de Valentine.
Il enfonca ses dents en profondeur dans les chairs de la jeune femme, lui broyant le cou dans un torrent de sang, sang qui coula dans la bouche de Vincento.
La jeune femme n'avait pas eu le temps de réagir et bien peu d'hommes en ce monde l'auraient pu. Vincento aspira avidement le sang de la jeune femme. Il était trés mauvais, c'était indéniable, mais le palais plus que délicat de Vincento ne semblait pas l'avoir perçu.
Dans un même temps, Angel Dark put constater que la jambe droite de Vincento pendait lamentablement, les muscles avant explosé lors de son déplacement.
Vincento tourna la tête vers le jeune vampire stupefait.
Ses yeux crevés pendait de leurs orbites, rattachés seulement par le nerf optique. La peau de Vincento était brûlée et tombait sur le sol. En dessous de la peau brulée, une autre, beaucoup plus claire commençait à bruler elle aussi.
Vincento lacha le paquet de chair morte qu'il tenait dans ses bras, le retenant seulement par une main. Il prit un pieu à vampire qu'elle possedait et empala la jeune sur un mur.
Vincento, couvert de sang, fumant et brulé, daigna enfin adresser la parole au jeune vampire. Sa voix éraillée paraissait encore plus démente que d'habitude; les cordes vocales étaient en train de fondre.

"-Alors comme ça tu viens m'attaquer sans te déplacer? Sais tu que je suis le seul capable, à se jour, à faire un tel prodige? Je ne suis pas mort, je ne hurle pas à la mort. Pourquoi selon toi? Je vais te le dire. Je ne suis pas moi."

Il arracha alors le peu de peau qu'il lui restait sur le visage, arrachant au passage ses yeux morts.
Sous son visage un autre était apparu. Beaucoup plus blanc, du blanc de la jeunesse, et non du blanc-jaunâtre et ivoir témoignant de la mutation du vampire.
"-Regarde bien petite merde. Celui que tu vois n'est ps le grand et noble Vincento Valentine. Il n'est pas assez fou pour aller en personne à une fête donnée en son honneur et qui n'est autre que son enterrement.
Et maintenant je vais te laisser vivre. Te tuer maintenant ne m'apporterait aucune satisfaction, tu mourrait trop vite de toute façon."

Puis, décidé à tuer un maximum de gens il tapa du poing dans un mur. Les issues étaient bloquées, certes, mais rien n'interdisait d'en crée une autre. Le poing de Vincento fut broyé, mais le mur explosa litteralement. Il penetra alors dans une autre pièce, petite et sombre, une sorte de vestiaire.



Loin de là Vincento Valentine Von Carstein achevait de repousser l'envahisseur. Une pathétique armée étaient venu l'attaquer et Vincento ne déploya même pas un dixième de ses morts vivants pour la repousser. De fait, il était suffisement puissant pour balayer une troupe de cadavre qu'auncun guide puissants n'étaient là pour guider. Une petit sourire carnassier se materialisa sur les lèvres du seigneur. Et dire que les autres avaient hésités à l'ataquer! Imunité diplomatique! Il rit d'un rire funeste en pensant aux pathétiques créatures qui pensant pouvoir le détruire en employant des procédés aussi minables. Pour Vincento qui avait cessé de posseder sa toute nouvelle créature, la fête était finie. Pour son monstre laché au coeur du palais, elle ne fesait que commencer.



HRP= Vous êtes pas fun les gars, j'ai pas pu massacrer dignement! En plus, la femme baignée d'eau bénite et armée de pied en cape, laissez moi rire. 1 Vincento n'étant point un débile mental, il sait quand une femme est ruisselante. 2 une femme en robe de soirée passe difficilement inaperçue armée d'un materiel anti vampire. Je suis véxé d'avoir eu à déployer une arme que je met au point depuis mon inscription sur le forum à cause d'un incohérence dans le post d'un autre. J'éspère que cela ne se produira plus.
Ludiquement. VVVC

HS: Super les gars, j'apprécie beaucoups le coté bourrinage que certains d'entre vous semble aimer faire. Je ne veux pas dire Laskaris, mais je crois vraiment pas qu'un petit sorcier de la vie (je sens déjà les critiques qui vont fuser) puisse se débarasser de tous ses vampires (et à ma connaissance, il n'y en a que deux, Vincento et Angel). Et puis fanchement, ca m'étonnerait que les quelques gardes du corps puissent être concidérés comme une armée. Voila c'est tout ce j'ai à dire, vous faites ce que vous voulez après tout, mais moi je dis qu'il a un manque flagrant de fair-play ici.

HS Bon ca va, et maintenant on fait quoi, on réedite pour que la soiré se passe mieux ou on continue ainsi ?

Et maintenant moi aussi je vois les critiques arrivé alors vous pouuvez les passer.

HS: restez comme vous voulez, mais évitez à l'avenir le bourrinage!
Et Laskaris, la prochaine fois, n'empeche pas les autres joueurs de jouer si tu vois ce que je veux dire!

C('est bon j'ai editer mon message pourrie, Cel Mare est désormais libre de ses mouvement. Tous les joeur d'ailleur.

Edwards entra discrétement dans la grande salle de réception en saluant les gens qui se trouvainet sur son passage. Il fut rapidement mit au courant des tragiques évenements et dit en rigolant:

-J'arrive toujours aprés le fete.

Il continua son chemin à travers la foule des invités et aperçus au loin la maitresse de maison entourée du Grand théogoniste Volkmar et d'un personnage assez étrange, un sorcier se dit-il.

-Salut à vous gente dame et encore merci de m'avoir convier à cette soirée qui me parait pour le moins agitée...
Mes seigneurs je vous salue, dit-il en s'adressant aux deux hommes.

Il se dirigea alors vers le somptueux buffet, en effet il n'avait pas diner, et son estomac bien qu'habitué à ce genre de situation, réclamait désormais à outrance.
Il dévora une dizaines de petiots fours en quelques minutes puis s'essuya délicatement la bouche à l'aide d'une serviette de soie.

-Allons maintenant que les questions de logistiques sont réglées, montrons à ces jeunes prétentieux comment danse le comte d'Averland.

Il se dirigea vers une jeune femme aux cheveux d'or vétue d'une superbe robe d'azur et décorée de fleurs de lys.

-Mes hommages damoiselle, me feriez l'honneur de m'accorder cette danse.
-Mais avec plaisir...

Ils entrérent alors sur la piste de danse et firent grande impression,lui vétu d'une superbe tenue de soirée aux couleurs de l'Averland.

Edwards et sa cavaliére dansait dejà depuis quelques minutes lorsqu'il se sentit observé.
En effet, un deuxiéme couple dansait à leurs cotés et la plupart des invités se contentaient désormais d'admirer ce duel pour le moins pacifique.
Edwards multiplia alors les passes acrobatiques et uniques, dont il avait le secret.
Lorsque son concurrent lui adressa la parole il répondit d'un air enjoué:

_Mais c'est là que l'entrainement fait la différence!

Ce seigneur quelque peu orgueilleux à son gout lui avait lancé un défi. Il était sur de pouvoir tenir plus longtemps que lui, l'entrainement militaire en Averland n'est pas pour des filletes, mais il craignait que sa cavaliére se fatigue rapidement.
Il réfléchit et élabora une stratégie des plus intéressante, "à la guerre comme à la guerre, l'effet de surprise est le meilleur" se dit-il.
Il lacha sa cavaliére quelques secondes et en attrapa une autre au vol, sans son consentement, mais un joli sourire réussi à la convaicre.

_Je crois que vous vous méprenez sur moi monseigneur, il est vrai que je danse bien mais je danse également toute la nuit si il le faut.

Une longue nuit s'annonçait pour ces deux danseurs enflammés...

Finalement ce noble n'était pas si déplaisant qu'on aurait pu le croire. Malgré un certain orgueil, point commun entre Edwards et lui, il avait comme un coté burlesque et amusant.
De plus son air sombre et reservé l'entourait de mystére, ce qui intrigait plus encore le jeune comte d'Averland. Edwards voulut en savoir plus:

_Trés bien monseigneur, je me rends, vous etes de loin le plus grand valseur de l'Empire et aprés tout c'est vous qui recevez, il est donc normal que je vous rende hommage en m'inclinant devant vous.
Acceptez donc que je vous offre quelque chose à boire au buffet ou nous pourrons causer à l'aise, loin de tout ce brouhaha...

Edwards laissat passer devant lui l'homme mystérieux et il se dit qu'il allait enfin en savoir plus à son sujet, son coté fouineur reprenez trés vite le dessus sur ses bonnes maniéres de comte-électeur.

Edwards Rüzen aurait préferé rester à l'intérieur mais il ne fit pas paraitre son mécontentement par politesse.
En arrivant sur la terrasse, il se dit que ce n'était pas une si mauvaise idée car un petit vent frais vint le rafraichir et à cette époque de l'année il faisait encore bon.
Il entama sa coupe de vin rouge puis la posa sur le rebord du petit muret du balcon.
Il se tourna vers son interlocuteur et lui dit amicalement:

-Tout d'abord je tiens à vous remercier pour votre invitation, les divertissements sont rares lors de des voyages diplomatiques et votre petite fete me permet de souffler entre deux audiences du Conseil impérial.Mais une question m'est venu à l'esprit, pourquoi m'avez vous invité et comment me connaissez vous?

Il reprit alors son verre et bu à nouveau une gorgée de ce délicieux nectar qu'était le vin du Reikland.
"Il faudra que j'en raméne quelques barriques" se dit-il.

Edwards fut amusé par la question meme si elle détournée un peu le sujet de la conversation:

- Les comtes ou LE comte actuel du Stirland ?

Il continua à répondre ne voyant pas son interlocuteur réagir à cette remarque.

- A vrai dire je ne connais pas trés bien les comtes électeurs et le comte électeur actuel du Stirland.
Une seule chose est sure, juqu'à présent, aucuns d'eux n'a été assez fort et determiné pour chasser et détruire à tout jamais les vampires de l'Empire.
Le Stirland est une région pauvre et ce la depuis fort longtemps, mais aucun comte électeur n'a essayé de remédier à ce probléme, qui, j'en suis sur, une fois résolu permettra au Stirland de résoudre d'autres problémes, comme l'éradication des vampires.
Si mes informations sont bonnes, la province est actuellement dirigée par la famille de Gortz, est leur représentant est plus habile pour parler de guerre que pour guerroyer et palier aux vrais problémes du Stirland.

Il marqua un temps d'arret et regarda dans le plus profonds des yeux de son nouvel ami, il y sentit de la malice et de l'amusement.
Il lui dit alors:

-Mais au fait, pourquoi m'avez vous posez cette question ? Auriez-vous des ennuis avec les ou LE comte électeur du Stirland ?

Décidement ce seigneur était un personnage fort singulier, il intriguait vraiment le jeune comte:

-Et bien si vous m'accordez ce plaisir, j'accepte volontiers.
Je reprendrai alors une de mes précedentes questions si vous le voulez bien.
Comment me connaissez-vous ?

Peut-etre suis-je dejà célebre se dit-il.
Mais aprés réflexion, il se dit que cela devait etre autre chose, enfin on ne sait jamais.

Il avait finit son verre et l'envie lui prit d'aller se reservir mais il fallait au moins attendre que cet Angel Darck lui réponde, pourvu que se ne soit pas long, se dit-il.

Edwards Rüzen trouvait cet homme charmant, il avait deviné ses propres pensées, mais cela ne faisait que confirmer ce qu'il imaginait sur ce noble seigneur.
Il porta à nouveau à sa bouche le délicieux liquide puis reprit:

- Un vampire..un vampire qui anéantit ses propres congéneres, vous m'épatez.
Vous connaitriez des personnes de ce genre ?
dit-il d'une voix interrogative en le fixant droit dans les yeux.

Alors comme cela ce seigneur était un vampire, tueur de vampires et qui plus est, venant de s'en prendre au tristement célébre Comte Vincento Valentine von Carstein.
Amusant tout cela songea t'il.
Il continua:

-Bien que que fréquenter et meme m'associer à des vampires me répugne, je le ferai pour le bien de l'Empire. Car un vampire, comme vous devez le savoir, est doté d'une force considérable, maitrise le plus souvent la magie et dans un combat avec ses propres congéneres connait leurs faiblesses et leurs points forts.
Ce serait un formidable avantage pour quiconque tenterai d'éradiquer les mauvais vampires, bien sur...
Mais peut-etre connaissez vous un de ces "gentils" vampires ? dit le comte en souriant.

Il attendait avec impatience la réponse de son interlocuteur.

Edwards était content de lui, il avit réussi à démasquer ce vampire.
Il fut tout de meme rassuré d'apprendre qu'il n'avait pas les memes passe-temps que ses congenéres.

- Je vous crois sur parole mon cher, mais cette malédiction ne pourrait-elle pas vous entrainér du coté obscur et vous faire "rechuter" ?

Une association avec un vampire tueur de vampires ne lui déplaisait pas, aprés tout, mieux vaut qu'il s'entretuent plutot qu'ils s'en prennent aux braves habitants de l'Empire.
Il regretta ces derniéres pensées car il éprouvait une légere symphatie pour cet homme si mystérieux.

Il porta de nouveau sa coupe de vin à la bouche et lorsque'il eut fini sa gorgée, il aperçu l'honorable Grand Théogoniste Volkmar s'asseoir non loin d'eux, sur une chaise.
Il avait la désagreable impression qu'il les observait, lui et Angel Darck.
Il esperait ne pas décevoir Volkmar en s'entretenat avec un fils de la nuit.
Le vieux sage prit alors une coupe de vin lui aussi, Edwards fut rassuré, il était également un homme normal.
Tout en écoutant son interlocuteur, il observait Volkmar du coin de l'oeil.

Volkmar continuait d'observer les deux jeunes qui étaient, apparemment, plongés dans une passionnante conversation. Le vieil homme entraperçut le regard que lui lança Edwards Rüzen. Il n'aimait pas qu'on l'observe, semblait-il. Le pontife eut un petit sourire bienveillant, et leva sa coupe d'or, comme s'il portait un toast, puis la bue, sans cérémonie. Soudain, il vit Angel Darck révélé des marques, comme si on l'avait brûlé. Volkmar les reconnut du premier coup: des marques d'eau bénite sur une chaire maudite. En tant que prêtre, il avait jeté de pareilles brûlures sur bien des morts vivants. Le jeune vampire avait-il eu des démêlés avec l'inquisition? C'était probable. Dans ce cas, malgré le zèle connu de la sainte institution, le monstre de la nuit n'était pas sans danger! Volkmar se promit d'aller jeter un coup d’œil sur son dossier, dans les archives religieuses. Il se tourna d'un coup vers l'hôtesse, dame Patiente:

-Depuis quand connaissez-vous votre petit protégé?

D’un œil, il regardait toujours les deux hommes. Il espérait qu’il n’arriverait rien au comte de l’Averland dans la soirée…