Enfin, les murs de Marienburg apparurent à travers la brume du matin. Route avait été bien longue depuis la Sylvanie, mais cela en valait la peine : il lui fallait tout prix trouver un nouvelle équipement pour remplacer l'épée maudite qu'il avait abandonné, et il n'existait pas de meilleur endroit que cette cité pour trouver toutes les armes de tout les horizons. Il passa d’abord dans un banque où il posait les récompenses qu’il recevait en tant que chasseur de prime. Puis il se rendit vers l’armurerie la plus grande de la ville où il était certain de trouver son bonheur.
Lors entra dans la boutique où se trouvaient plusieurs marchands étrangers en train choisir les objets qu’il allaient ramener chez eux. Homme s’approcha de Vonkluth en se frottant les mains sachant allait faire une bonne affaire avec ce nouveau client.
-Bon le bonjours mon bon monsieur, je vois que vous êtes à la recherche d’outil pour tuer, ne cherchez plus vous frapper à la bonne porte, « pas cher et qualités, c’est ici ». Alors que puis-je pour vous.
Vonkluth savait se qu’il voulait, il s’était aperçu qu’il n’était pas mauvais au lancé de couteau et qu’avec l’aide de sa magie des vents cela pouvait devenir très redoutable.
-Faite moi voir vos armes de tire.
Le commerçant le guida vers un étalage où étaient exposé d’innombrable couteaux tous différents les uns des autres. Vonkluth les prit à la main les reposa, et ce fut ainsi jusqu’à ce qu’il trouva celui qui lui allait le mieux : une lame légèrement courbée de vingt centimètre.
-Oh ! Très bon choix, ceux ci viennent d’Arabie, ils sont utilisés par des soldat d’élite et…vous désirez autre chose ?
-Vous avez des armes tranchantes ?
-J’ai même mieux que ça, venez, répondit le petit marchant, un sourire au visage. Laissez moi vous proposez ceci.
Il conduisit Vonkluth vers un autre présentoir, monta sur un escabeau et attrapa une arme et la lui tendit. Il s’agissait d’un sabre nippon et le commerçant ajouta qu’il n’y avait pas plus tranchant en ce monde ( des paroles de commerçant sans doute). Une fois à la caisse, le marchand demanda quelle quantité de couteaux Vonkluth désirait acheter. Il sortit alors une grosse bourse pleine de pièces d’or et argent.[i]
-J’en veux ça.
-Pouvez vous patienter, je vais voir si nous en avons assez en stock……………… ………….Désoler mais nous ne pouvons vous donner qu’un lot de cinquante, cela pose-t-il un problème ?
[i]Cela ne gênait en rien Vonkluth, il rajouta également à la liste des lanière de cuir pour coudre des emplacements pour ses couteaux dans son manteau. Il sortit de la boutique, et chercha une auberge pour préparer son voyage de retour.
Vonkluth finissait de coudre son manteau, quand une impression familière attira son attention. Il s’arma, rangea le surplus dans un sac et sortit de l’auberge.
Mar 20 Fév - 17:35