Marche Impériale

HRP : Tu contrôle les terres du Stirland, pas celles de Sylvanie
Volkmar: c'est faux, le comte du stirland est cencé controlé la Sylvanie!!!

Vonkluth regardait l'armée défiler dans la rue. Ce retour au pays provoqua en lui une légère mélancolie. Puis une inquètude gagna Vonkluth.

*Si le Comte entend vaincre le vampire avec ce ridicule battaillon, Il court droit au fiasco. Valentine a lui seul pourrait aneantir ces soldats avant de les faire renaitre sous sa coupe. Cette armée n'ira pas en Sylvanie.*, pensa Vonkluth.

Vonkluth entra dans un immeuble et resortit a l'un des balcons. Il se tourna vers le balcon Comtale et tendit un bras en direction de Wolf de Gortz. L'aire se rarifia du Comte qui commenca a montrer des signes de nervosité que seul Vonkluth ou un autre vampire aurait pu percevoir. Puis, ne lachant pas son emprise, envoya vers le Comte un parchemin sur lequel était écrit :"Ne lance pas ta misérable armée en Sylvanie, si tu veux contester descend d'un étage et va dans la pièce de récéption". Quand Vonkluth vit que le comte lut son message, il sortit du batiment et se dirrigea vers la maison de comte.

William montait les escaliers du palais, afin de rejoindre son cousin au balcon. Arf, pourquoi fallait-il que le nombres de ces marches soit interminables? Le jeune sorcier s'essuya le front avec sa manche, et continua son ascention. Un événement attira son attention: quelqu'un utilisait de la magie... Le sixième vent en plus! C'est à dire le sien... William monta les escaliers quatre à quatre afin de retrouver Wolf. Ce dernier avait l(air particulièrement heureux, saluant ses troupes. A, la mégalomanie de Wolf! William sourit, et s'inclina.

-Votre altesse...

Astaroth était dans la foule, regardant l'"armée impériale" défilée. Il s'emblai le coeur sombre et froid.

*C'est humains ne connaisse pas le vrai pouvoir...Non,non arrête,laisse moi et qui est tu...Tu n'a toujours pas compris ? Je suis toi, ton potensiel inexploré, tes rêves enfouis...Vous êtes en moi ?!...Je suis en toi depuis ta naissance, ta malédiction au bras ne ma que réveiller et tu rêve d'en savoir plus... Non c'est faux... Tu en est sur ?...OUI !...*

Quelque chose s'était éveiller en lui, et il était tanter de l'écouter pour un homme qui avait tous perdu. Atirer par la peur et la colère...

Vonkluth s'engouffra dans une petite rue déserte, puis une autre et avança ainsi jusqu'à arriver façe a un mur. Il sauta par dessus et atterit dans un jardin parfaitement entretenu. Il jeta un coups d'oeil au alentours puis se dirrigea vers la porte de service du personnel. Il traversa de nombreux couloir avant de se retrouver dans un grand hall. Il aperçut un garde, et se dirigea vers lui en sortant une enveloppe de sa sacoche, puis demanda ou il pouvait trouver le Comte de Gortz.

-J'ai une lettre du Grand Théogoniste a remettre au Comte...en main propre bien sûre,dit Vonkluth en adoptant un aire stressé.

Le garde se montra plus coopératif que l'eu crut Vonkluth, fasse a ce menssonge, et lui indiqua l'escalier à prendre. Tandis qu'il montait les marches les paroles de Valentine résonnait dans sa tête.

-"les manières de me dépasser dans les tenebres.Les tenebres sont ta seule issue, toi qui a commencer à t'y aventurer. Entrer en elles est facile, en sortir n'est pas concevable."

-Pour sortir des tenebre la mort me suffira, pensa Vonkluth

Vonkluth arriva dans la salle du rendez-vous, se dirigea vers la fenetre, et rouva la vue sur la ville parfaite au cas où le comte ne se montre pas coopératif. Il resta devant la vitre à regarder le défilé en calculant le temps qu'il lui faudrait s'il avait à détruire le ville par ses puissantes tornades pour faire déguepir l'armée par la force. Enfin, cetre méthode ne lui plaisait guère et il espérait ne pas avoir à le faire...

-Enfin cette décision appartient au Comte,soupira Vonkluth.

...mais ce qui le dérangeait le plus était présence de l'inconnu qu'il avait assomé lors de son précedent combat contre Vincento Valentine.

Wolf avait senti une présence... Cette lettre l'intrigait et il se rendit au lieu de rendez vous après un dernier salut à la foule. Au dehors, l'armée ne cessait de défiler, bataillon après bataillon. Lorsqu'il arriva au lieu indiqué il se retrouva face à un homme corpulent.

-Qui êtes vous pour m'aborder ainsi? Que voulez vous? Je crois que vous sous estimez nos nouvelles forces, n'est-ce pas?

Sans se tourner vers son interlocuteur, Vonkluth prit la parole.

-Votre cousin ne vous a pas accompagné, pas de gardes, votre assurance me désole. Qu'auriez vous fait si j'était venu en ennemi. Pardonnez moi pour ce qui vas suivre mais la prudence s'impose.

Un courant d'aire referma la porte et la verrouilla. Puis une main invisible sempara de l'épée du comte ainsi que de la dague attachée a la ceinture et de celle cachée sous la manche et envoya toutes ces arme loin du comte. Puis il continua.

-Avez vous déjà entendu parlez de Kurt Ruder, il fut sacré plus grand stratège de l'empire, enfin de son vivant. Avant d'obtenir ce titre, il fut traité de lacheté, de traitrise et autre car il passait son temps a contredire le paroles de Seigneurs dans votre genre votre genre qui pensaient anéantir les vampires en envoyant leurs armées en Sylvanie. Personne ne l'écoutait quels que fussent ces explication. Les seigneurs se lançaient en terre maudites et avançaient chaque fois qu'ils gagnaient du terrain. Ils détruisaient les maisons et tuaient les rares vampires qui s'opposaient a eux. Or plus ils avançaient vers les domaines maudits, plus ils étaient en danger. Car des ruines des maisons, des cimetières, et autre lieux macabre qu'ils avaient laisser derière eux les mort vivant ce levaient et les encerclaient entre les terre que les Comte avaient conquit et celles qu'ils convoitaient. Ainsi encerclés, les impériaux périrent puis furent réveillés par les nécromanciens pour servir dans les rangs ennemis. Les rares survivant ne comprenant pas les leçons reformèrent des armées et repartirent reproduire les mêmes fiascos.
Un seul comte prit conscience de sa stupidité, puis se tourna vers Kurt Ruder pour demander de l'aide. Ils unirent leurs talents : m'un la stratégie et l'autre son autorité et unifièrent les seigneurs sous un seul commandement. En suivant les conseils de Kurt, ils réussirent a contenir les raides Vampires. Ce fut après mainte batailles que Kurt obtint son titre.
Ce que je vous raconte n'est une fiction, j'en est été le spectateur jusqu'à la fin et mon Kurt, qui était mon grand père, ne cessait de répéter :"le fléau mort vivant c'est comme une malidie, on ne le détruira jamais mais nous la contiendrons jusqu'à la fin des temps".

Puis il se tourna vers Wolf de Gortz et le fixa des yeux.

-Voila pourquoi, moi qui ai vécu ce passé, je vous demande de renoncer a se projet insensé. Vous perdrez et si vous affrontez Valentine, il ne se contentera pas de votre armée et lancera alors la sienne sur cette ville.
Si vous ne m'écoutez pas, je vous y contraindrait par la force. Et je vous conseil de ne rien tenter de stupide, en six cent ans, j'ai eu le temps d'apprendre à deviner les intentions de mes adversaires en écoutant l'unique battement de leur coeur.

Wolf sentit que cet homme ne lui ferait aucun mal. Son coeur semblait pur et ses intentions pleines de bon sens. Mais il désapprouvait néanmoins ses idées...

-Feu votre grand père devait donc être sage. Mais sachez qu'un de Gortz est mieux placé que quiconque pour juger de la puissance des Comtes Vampires. Alors que je n'avais que sept ans j'ai vu ces créatures de l'enfer raser la forteresse de ma famille et les flammes la dévorer. Ces mêmes flammes animent aujourd'hui ma vengeance. Si les impériaux ont toujours trouvé la mort en Sylvanie c'est qu'ils n'en connaissaient pas les failles. La Sylvanie est MA terre, vous comprenez ça? Et je n'enverrai pas que des soldats,croyez-moi... Je connais mes moyens...ils surpassent ceux de l'ennemi...

L'agacement gagna Vonkluth, ce qu'il venait d'entendre l'avait irrité.

-"raser la forteresse de ma famille...la sylvanie est ma terre...ma vengeance...", misérable cloporte, de cette campagne vous n'y voyez que votre propre intérêt. Je ne voulais pas en arrivé là, mais je n'est plus le choix, de grés ou de force cette armée n'ira pas en Sylvanie. Valentine avait raison, on ne peut vaincre le mal que par le mal et je suis la personne la plus apte à le faire.

Une bourasque de vent brisa les fenetre, les armes du Comte s'envolèrent et se plantèrent au plafond. Vonkluth se placa sur le balcon tendit les main au ciel et prononça une incantation d'un voix ténébreuse. Trois tornade se formèrent dans la ville faisant envoler le toit des maisons. Elle se déplacaient lentement vers un la maison du comte où elle devaient s'unir pour ne former plus qu'une. Vonkluth se concentra de sorte que tout ce qui était détruit par ces tornades fut envoyer loin de la ville pour ne blesser personne. Vonkluth sentait une résistance s'opposant a son projet et vit que les magiciens de l'armée étaient entré dans la danse, il tendit una main vers ces derniers dont le poumon de vidait d'air a chaque respiration, et la incantation d'anti-magie s'estompèrent. La foulepaniquée ne savait où aller. Lorsque les tornades furent assez proche, Vonkluth tendit son autre main vers le Comte qui fut soulevé a quelque centimètre du sol et déplacer sur le balcon. Toute la population présente dans la rue se tourna vers eux.

-Moi qui suis maudit depuis six cent ans par Valentine, voyez ce que je peut faire, même légèrement affaibli par la lumière, masquée des nuage, du soleil. Imaginez maintenant une tempête cent fois plus puissante s'abattre sur votre armée et vous aurez une idée de la puissance de Valentine. Ensuite regardez votre peuple qui vous suppli de le sauver. Pour cela vous n'avez qu'une seule chose a faire. Je peux arrèter cette tempête, je ne veux entendre qu'une seule chose.

Tout à coup, Vonkluth sentit une grande puissance magique se reveiller, au moin aussi grande que celle de Vicento Valentine, mais celle ci semblait passive, attendre de voit se qui allait se passer par la suite.

*Pitié que votre sagesse vous guide, je ne fait cela que pour le bien de ces gens*, suplliait Vonkluth dans ces pensées avec inquiétude.

HS: tu ne te rends pas un peu trop puissant Vonkluth? Enfin, c'est juste un avis...

Mais, soudain, aussi mystérieusement que les trois terrifiantes tornades étaient apparues, elles s'évanouirent, comme par enchantement. Les armes du comte redescendirent alors du sol. William de Gortz, cousin cadet de Wolf, apparut. Il avait les orbites de ces yeux entièrement noirs, signe qu'il avait utilisé la magie. C'était exactement ce qu'il avait fait; dissiper la magie vampirique de Vonkluth. Un sourire s'ébaucha sur ses lèvres, tandis qu'il s'approchait des deux hommes. Quoi, le vampire essayait de le battre sur son propre domaine?

-Relâchez mon cousin immédiatement, qui que vous soyez...

La voix du jeune sorcier était assez compréhensible. Il semblait bien qu'il n'appréciait pas trop l'événement...

HRP: C'est vrai, je vais éssayer de me calmer


La deception avait gagné Vonkluth, il était claire qu'il ne pourrait rivaliser avec le sorcier de la mort. Mais il ne perda pas espoir. Vonkluth rattrapa le comte libérer de son emprise par le cou et le resouleva bras tendu. Il fit pousser les ongles de sa main libre et se tourna vers le nouveau venu avec un semble de stresse.

-Personne n'a le droit de haïr Valentine autant que moi. Voilà six siecles que j'endure les tourment qu'il m'a infligé, cette malédiction. Je ne veux pas voir augmenter ses rangs, je ne peux pas sentir cette personne qui ne pense qu'à son propre intéret et qui ne veux rien entendre malgrés les mise en garde que je lui est donné. Maitenant que vous êtes intervenu, je vais devoir employer d'autre méthode.

Vonkluth prépara son bras, main plate, prêt a perforer le ventre du Comte. Vonkluth préta l'oreille sur la battement cardiaque du sorcier prêt a lancer son bras au moindre signe d'ostillité.

-Si je porte mon coup, je doute que vous puissiez reagir a tant, or moi, je peux prévoir vos intention première au simple battement de votre coeur. Maintenant nous allons voir si votre cousin aime la vie qu'il mène. Je ne voulais pas en arriver là, mais vous deux ne m'y avez pas laisser le choix. Dire qu'il n'avait qu'à m'écouter tout simplement.

Vonkluth se tourna vers Wolf de Gortz, tout en gardant son attention sur le sorcier.

-On dit que l'enfer est pavé de bonne intention, n'est ce pas ? Bon, ce que je veux entendre va-t-il venir ?

Vonkluth entendit le clocher de la maison sonner onze heure, il n'avait plus beaucoup de temps.

Wolf ne supportait plus d'être ainsi dominer par ce misérable individu qui semblait obstiné au plus haut point. Il fit un léger clin d'oeil imperceptible à William. L'instant d'après, il était debout face au vagabond son épée dans la main et une lueur rouge palpitant dans sa main.

- Politicien peut être... mais pas seulement!ANCOR DARD!

Vonkluth fut propulsé contre le mur ligoté par un fil rouge ondulant et l'empêchant d'utiliser la moindre magie.

-Vas-y! Maintenant je t'écoute!

Vonkluth, était irrité, a l'aide de sa force physique et de sort anti magique il brisa les liens qui l'immobilisait. Il savait que dans un combat en un contre un il ne ferait qu'une bouché du comte mais la présence du sorcier était inquiétante. Impossible de savoir s'il allait ou non intervenir dans un combat. Vonkluth s'empara d'un couteau et le lança vers le Comte, couteau qui s'enfonça et ranspéça la main armée du Comte contrain à lacha l'épée.

-Depuis quand les prisonniers on droit de se rebeller. N'espère pas me battre avec ta petite magie, il n'y jamais eu et il n'y aura jamais dans se monde des personnes capable de allier magie et force physique efficacement si ce n'est le chao ou les comte vampire. La seul personne présente dans cette piece capable de me vaincre ce n'est pas vous, et cette personne le sait aussi bien que moi.

Vonkluth réitera sa transformation, transformation avec laquelle il avait réussit peu de temps auparavant a blesser Vincento Valentine un court instant(voir sujet "enquete macabre" dans le forum "Aldtorf"), mais qui serait suffisante pour arrêter cette armée, une armée qui ne partira pas si son commandant n'est pas en état d'aller à la guerre. Vonkluth prêta attention aux battement cardiaque des deux hommes. L'un était rapide traduisant une angoisse, l'autre était calme, serain montrant l'assurance et la terrible puissance du sorcier. Vonkluth enfouit ses main dans son manteau et lança six autres couteaux en direction des deux adversaires creant une diversion. De sa détente accrue, il se retrouva a côté du Comte qui venait a peine d'éviter es projectiles, et lui assena un coup assomant tout en dosant sa force pour ne pas le tuer.

-Qui tuera Valentine, vous ou ces soldats dont la vie vous appartient.

Il s'adressa ensuite au sorcier

-Il va dormir quelque temps. Il n'a pas voulu m'écouter, puisse votre sagesse et celle de âmes avec lesquelles vous conversez lui faire entendre raison. Si Valentine est votre ennemie, ne l'attaquez pas, attendez qu'il vous attaque et defendez vous.

Vonkluth partit sur le balcon et sauta sur ceux de l'immeuble dans face, puis reposa les pieds à terre. Aussitôt, il se transforma en loup et partit en courant vers la fôret non loin de la ville.

Quelle arrogance! Quelle présomption! William manquait de mots. Et voici que le lâche s'était enfuit, laissant son cousin à moitié assommé. Et il osait leur donner des ordres! Qu'il valait mieux se défendre ! William ne connaissait pas grand chose en guerre mais lui! Il n'avait jamais entendu dire que la meilleure défense, c'était l'attaque. Et un autre proverbe dit également que si l'on veut la paix, il valait mieux préparer la guerre. Mais le débat militaire n'était pas là. Le jeune sorcier se rapprocha de son cousin, dans les vapes. Les yeux du jeune homme devenaient noirs, tandis qu'il psalmodiait des paroles magiques. Le comte retrouvait ainsi connaissance. William lui tapota un peu les joues.

-Ca va?

Le nécromant eut alors un petit sourire amusé.

-Pour une fois que c'est moi qui te sauve la vie...

-William! Envoies nos meilleurs agents à sa poursuite! Il sait beaucoup plus de choses que nous ne pouvons nous imaginer! Son arrogance risque de le mener droit chez l'ennemi! Nous ne pouvons nous permettre de le laisser filer!

Le sorcier transmit mentalement quelques directives brèves et efficaces.

- William, il faut que je te montre quelque chose... au plus vite! Viens avec moi dans la salle du trône. Le défilé continuera sans nous...

Les deux hommes quittèrent le lieu au plus vite en direction de la salle du trône. Les dernières lueurs du jour s'étaignaient lentement à l'horizon.
Arrivés dans le palais,Wolf et son cousin pénétrèrent dans une grande salle à plafond haut et aux murs recouverts de vastes tapisseries retraçant d'anciens combats.Wolf s'approcha d'une statue et plaça ses deux index dans les yeux du roi de pierre. Aussitôt, la statue pivota pour laisser place à un vaste escalier en colimaçon s'enfonçant dans les profondeurs de la capitale. Les seigneurs s'y engouffrèrent...

Après plusieurs minutes de marche durant lesquelles William manifesta à plusieurs reprises sa curiosité, ils débouchèrent dans une sorte de crypte souterraine immense où la lumière provenait d'une multitude de torches.

- William, nous voici dans Al' Anthur, un lieu secret où les plus grandes sociétés secrètes se sont réunies au cours des siècles! Même les premiers flagellants ont fréquenté ce lieu! Ce que je vais te montrer, j'aurais aimé le faire beaucoup plus tard... mais je me rends compte que l'inévitable arrive: nous devons attaquer les Comtes vampires et récupérer la Sylvanie maintenant si nous espérons bénéficier de l'effet de surprise! Ménages ta réaction, c'est ce qui va nous apporter la victoire que je vais te montrer...

Wolf actionna plusieurs mécanismes et le centre de la crypte s'ouvrit,tel un gigantesque puit. Une grotte immense en occupait l'espace, s'enfonçant dans les entrailles du monde. Un gigantesque dragon bleu sombre, presque noir, recouvert de pointes acérées, était allongé au bord du puit.

-Voici Vroltar, le plus puisssant des dragons, que j'ai domestiqué! Ce n'est pas une bête servile,c'est une monture puissante et affectueuse au même titre qu'un cheval doté d'intelligence! On dit que les dragons apprécient les sorciers.En tout ca, celui ci m'appartient. Et c'est notre nouvelle force car notre armée en dispose d'autres! Warell et toi pourrez en avoir un! Tu vois comment Vonkluth me sous-estimait! J'attaquerai bientôt...

Un regard dominateur éclairait à présent le visage de Wolf.

Laskaris arriva dans la communauté, elle était délabrée, désordonnée, elle venait subir de gros dégàt lier a des phenomènes surnaturels. Il arriva dans la grande rue, des regiment entier de soldat éssaiyaient de maintenir l'ordre sans résultat. Nombreux étaient ceux qui venait de perdre leurs maison, d'autres accusaient le ciel de ne pas avoir veillé sur eux, d'autre prnaient cette episode comme un prélude de l'apocalypse... Un homme qui semblait être un mendiant alla même se plaindre au pied de Laskaris. Laskaris se cacha les yeux d'un main d'un aire désespérer.

-*Qu'est ce qui m'a prit de venir ici ? En vingt ans rien a changer, cette terre qui n'est que désolation n'évolura danc jamais dans le bon sens. Je me souvient encore de tes paroles optimistes (celle du precedent conte du Stirland) sur l'avenir de cette region et tu as echoué comme tes predécesseurs avant toi. Et voilà ton succésseur qui, a peine au commande, ne pense déjà qu'à la guerre. Il ne connait rien de l'administration du Stirland et le voilà sur les route du champs de bataille. Ce peuple, celui des homme est si faible comparé a celui des elfes, j'ai si honte d'eux...
Enfin, espérons que le prochaine ville soit plus "vivante"*

Laskaris se dirrigea vers une taverne-Auberge encore en état pour y passer le nuit avant de reprendre la route.

hrp:(à William)
je n'aime pas abandonner un sujet alors une réponse est plus que bienvenue! si je me suis permis de supprimer les hrp des autres membres c'est pour mieux prolonger le sujet! merci de la compréhension!