Enquête macabre

Vonkluth était là, assit sur le trottoir, regardant dans le vide. Maintenant qu'il avait mis à mal l’humeur de Vincento Valentine en tuant ses hommes, beaucoup de tueurs vont venir à Aldtorf pour se venger. Peut être que Vincento lui-même se déplacera pour s’assurer la finalité du travail. Vonkluth pensait aux gens qu’il avait croisé dans la journée, il les enviait, il enviait leur liberté, leur joie, leurs amis, leur familles… Il n'avait rien tout cela : pas de liberté, pas de joie, pas d'amis, il était prisonnier de son destin. C'était une marionnette victime de la solitude qui lui avait été imposé depuis fort longtemps. Puis soudain il sortit ses douloureuses pensées, quelque chose avait attirées son attention. Un sourire de satisfaction se dessinait alors sur son visage.
Il regardait tout autour de lui au-dessus des maison du quartier, puis se décida sur la direction a prendre. De bonds majestueux lui sauta sur le premier toit qu’il lui barrait la route et avança ainsi de toit en toit, jusqu’à arrêter sa course dans une rue, toutes aussi déserte que les autres, en atterrissant d’un bruit grave sur le sol de terre battu par les marée d’habitants qu’il piétinant tout le long de la journée. Il se tourna vers le loup en détachant la ceinture de cuire qui harnachait sa gigantesque épée dans son dos. Le visage caché par une capuche

-Montre toi Valentine, se serait vexant de t’éliminer sous cette forme si faible.

Puis son visage prit une forme tout autre exprimant une haine mélanger à du dégoût, ainsi qu’à de la joie : la joie qu’exprime un chasseur lorsqu’il trouve l’occasion de tuer la proie qui l’avait tant fait courir. Il avançait en faisant tourner son épée sur son poignet à une vitesse hallucinante puis fonça sur le loup qui n’avait toujours pas bronché.

-Il t’en a fallut du temps pour réagir Valentine, dit il calmement puis cria si fort que même un sourd aurait pu entendre, : BATS TOI

William marchait tranquillement dans les rues d'Aldtorf, capital du Reikland, et ancienne capitale de l'Empire. Enfin, tranquillement, c'est un façon de parler. Il faisait en effet plutôt froid, et William s'était enveloppé de sa vieille cape noire et bleue. Un cri se fit soudain entendre.

*Vincento?*

Non, non, il n'avait pas rêvé, le nom de son pire ennemi venait d'être prononcé. Il arriva alors dans une petite ruelle. Il y avait là un grand homme brun, l'aspect inquiétant. Mais, plus étrange encore, il y avait devant lui un loup. William, en essayant d'être discret, tira sa lame de son fourreau, et son bâton, qui avait appartenu a feu son père. Ca allait saigner...

Sa concentration brisée par l'arriver subite de l'étrangé, Vonkluth ne put offrir de coups efficace : le loup les évita s'en aucun problème et se recula de de quelque metres. Vonkluth de retourna vers l'étrangé , il puait la mort comme Vincento.

-Qui que tu soit, ne te mele pas de cette affaire, tu tenteras ta chance une autre fois. Quand a toi Valantine regarde a regret les pouvoirs du monstre que tu as créé.

Vonkluth tendit une main vers l'inconnu et aussitot l'aire se rarifia autour de lui. Bientot il ne put plus respirer. Lorsqu'il montra des signes d'un état critique...

-Voila plus de six siecle que je cris vengeance, se que j'ai perdu vaut bien plus que votre baraque de Sylvanie.

...une bourasque de vent projeta l'homme de la mort contre un mur. L'homme retomba a terre évanoui par le coup assomant mais egalement par le manque d'air qui lui avait été insoutenable. Puis se retourna vers Vincento Valentine.

-Nous ne serons plus dérangés.

Vonkluth brandit son arme attendant de voir le vrai visage de son ennemi.

Si un loup avait pu sourire, celui ci l'aurait fait. L'arrivée subite et dérangeante d'un gêneur fut bientôt réprimée par son "petit protégé".
Vincento s'était douté que le tueur était un vampire. La force prodigieuse employée le suggérait, tout du moins. Le seul vampire assez fou pour oser le contrarier ne pouvait être que ce blanc-bec de Vonkluth. Parfois il regrettait de lui avoir laissé la vie sauve, mais en voyant de tels progrès, il fut fort satisfait de se qui deviendrait tôt ou tard son nouvel allié.

Soudain une brume opaque environna le loup noir et quelques secondes après apparut dans un volute de fumeé Vincento Valentine en personne.

-Bien le bonsoir, Vonkluth. Pour le moment je n'ai nullement l'intention de te tuer, puisque ce serait la seule issue possible d'une altércation entre toi et moi.Réfléchis bien.Ta faiblesse et ta rage pourraient se transformer en force si tu restais auprès de moi. Alors que ton désir de vangeance restera inachevé toute ta pathétique vie. Et même si tu venais à bout de moi,qu'adviendrait-il? Tu errerais, sans but pour le restant de ton éxistance. Tu est attaché à moi, tu le sais bien, comme un chien est attaché à son maître qui le nourrit. L'épée que tu porte en est la preuve.dit-il tout en attrapant la sienne, pareillement accrochée au dos. Les vêtement ainsi libérés de cet enorme poids, se mirent à flotter autour du corps du vampire. Sombre e effrayante apparition, au milieu du brouillard et dans ses vêtement aux extrémitées souvent déchirées, on aurait dit un fantôme. Ce qu'il était, un quelque sorte.


HRP=désolé Wiliam, tu n'a pas été invité à la fête. Une prochaine fois je te le promet

Vonkluth, sous sa capuche regardait Vincento Valentine, avec des yeux emplie de haine. Lui un "chien attaché" a son ennemie s'en fut trop. Il refit tournoyer son épée qui se mit a siffler sous le vent. Commença a avancer vers Vincento, puis se mit a courir. L'épée, toujours en mouvement rapide, réflétait l'éclat de la pleine lune que n'était alors plus cacher par les nuages.

-C'est gentil de t'inquiéter pour mon avenir mais j'y est déjà pensé !

Vonkluth abattit son arme sur Vincento Valentine qui évita le coup presque de justesse. Vonkluth enchaina les attaques avec une vitesse fulgurante sans jamais réussir a toucher son adversaire, soit ses coups étaient évités, soit ils étaient parés avec une puissance incroyable, ou encore il étaient déviés se qui offrait des ouvertures a son adversaire qui les ignorait. Puis Vonkluth sentit la lassitude dans le regard de son adversaire qui se mit a riposter. Vonkluth dévia le premier coup, se baissa pour éviter le deuxième, et para le troisième. Parer un coup venant du bas d'un adversaire de la force d'un vampire n'était pas une bonne affaire. Il fut projeté en arrière et séparé de son adversaire d'une dizaine de metre. Vonkluth de releva, une goutte de sang coulait sur son visage, sa capuche était entailler. Il la retira laissant apparaitre un visage grave, une chevelure noire mi-longue. La coupure sur son visage cicatrisa, Vonkluth brandit son arme et repartit à la charge.

HRP=Tu serais gentil de pas décider de mes mouvements à ma place^^'.


Le comte Von Carstein ne fut pas surpris lorsque son petit chien l'attaqua, mais toutefois legerement agacé, comme on peut l'être dans ces cas là. Un petit chien face à son maître. Le chien n'avait que de faibles chances de s'en sortir. Il pourrait tout au mieux mordre la cheville du maître.Il lui faudrait ensuite compter sur la clémence du maitre, une fois qu'il eut compris l'inutilité de son geste. Vincento ne se sentait plus d'humeur clémente. Il jeta cependant au loin son épée qui alla se ficher dans une maison abandonnée, risquant de la perforer de part en part. Le vampire bondit hors de portée de son ennemi et leva les bras au ciel. Il psalmodia une phrase et bientôt une ombre envahit ses doigts, pour se répandre sur ses avant-bras.L'ombre se figea et son apect fantomatique céda la place à un aspect solide, métallique. Les "gantelets" étaient à présent garnis de lames et piques qui ne présageaient rien de bon.

-Impétueux que tu est! Comment ose tu 'en prendre à moi?Tu pense me connaitre? Tu ne te connais pas toi même! Regarde toi! Un louvetaux aurait deja eut le dessus sur tes assauts! Je n'ai pas besoin de ma lame pour vaincre quelqu'un de ton éspèce, mes poings suffirons emplement. Dire que je me suis déplacé pour toi! Grande est ma déception...Cependant tu as toujous ta chance. Joins toi à moi et je t'apprendrais la vrai puissance.

Il lacha ces mots avec mépris puis le ton s'adoucit imperceptiblement et il tendit une de ses mains gantées.

-Joins toi à moi et tu apprendras alors les manières de me dépasser dans les tenebres.Les tenebres sont ta seule issue, toi qui a commencer à t'y aventurer. Entrer en elles est facile, en sortir n'est pas concevable. Auprès de moi tu apprendras leur véritable étendue et tu trouveras peut être les moyens de m'éliminer.
Alors, que décide tu?La mort?Ou le pouvoir?

HRP : Je suis bien obligé de décrire tes mouvements sinon on peut penser que tous mes coups font mouche. On est obliger de faire bouger son adversaire pour rendre le combat plus réaliste. Et puis tes mouvement ne tournait pas a mon avantage.

Vonkluth regardait l'exploit de son adversaire. Son épée ne servirait a rien dans un combat au corp à corp.

-Dans ce cas se sera la mort, la mort pour toi, hurla Vonkluth, reprend ta me^de je n'en ai plus besoin.

Et il lanca la gigantesque épée sur Vincento.

-On verra bien qui est le louveteau. Tu sera pour la première fois de ta vie, je pense, confronté a un choix difficile : Tuer la creature,le serviteur que tu a créé, aneantir le résultat du tempsque tu as passé pour m'éduquer ou te résigner a mourir se soir. Cette situation est la consequence de ce que tu as fait six siecles, m'avoir maudit et contraint a la solitude. Tue moi si cela te chante mais ainsi tu m'auras délivré de la malédiction que tu m'as toi même assignée. Et maintenant je veux que tu tremble face à ma haine, ma rage et à la mort qui t'est destinée,Vonkluth hurla ces mots avec une force vocale qui aurait pu réveiller l'empereur au fond de son palais


Comme Vincento, il leva les bras au ciel puis les abaissa energiquement. Ces cheveux se coiffèrent en arrière et prirent une teinte bleu-nuit. Les canines supèrieur s'alongèrent légèrement. Un cercle noir apparut, séparant le blanc de ses yeux du gris claire de ses iris. Ses bras grandirent, ses mains s'allongèrent, ses ongles grandirent et se noircirent mais ne devinre pas plus pointu pour autant, sa musculature amplifia, ses jambes se féchirent et ses talons se levèrent légèrement. Son long manteau qui lui paraissait trop grand auparavant lui allait parfaitement désormais.
D'une détente inimaginable il s'élança sur Vincento surpris par cette nouvelle force, et lui assena un puissant coup de poing dans le ventre. Valentine se plia légèrement pour cracher un peut de sang la langue sortie de moitier. Vonkluth enchaina par un coup de la paume de la main dans le menton. Le sang coula à flot. Il continua en causant une déchirure dans la gorge. Il sortit de sa sacoche un pieux d'argent, qui luisait si fort que la rue se retrouva dans un bain de lumière. Au loin Vonkluth entendait les soldats arriver.-"Se sera déjà terminé pensa t-il. Il se retourna vers Vincento et s'approcha de lui le menaçant de son poignard.

-Mort la bête, mort de venin.

HRP : Le pieux est une arme magique, tu ne pourras pas la briser si facilement

HS:Vos messages ont été supprimé.
Vous êtes priés de régler ce genre de probleme grace aux MP!!!

Vincento, surpris par le poids de ses gantelets n'avait rien pu faire efficacement face à son élève mué en bête. Le déluge de coup, par contre, l'avait réveillé et il ne ferait plus de cadeaux à son adversaire. Il ferma les yeux et ses blessures se refermirent rapidement.

-Bon, tu as choisi la mort.Crois tu que ton jouet puisse me défaire? Tu sous-estime(pas le côté obscur... )les puissances occultes. Ma clémence à des limites, ne crois pas que tu sois exceptionnel. Puisque tu à choisi la mort, je maudirais quelqu'un d'autre que j'éduquerais mieux. Ton attitude te condamne.
MAIS C'EST TROP TARD POUR REFLECHIR.

Sa voix grave tonna comme la foudre. Depuis deux siècles et demi, personne ne l'avait entendu crier. Plus que le son de la voix, ce cri signifiait une mort certaine pour celui à qui il était adressé. Un homme normal aurait pu en mourir sur le coup, à la façon d'un kiai japonnais, en homme fort aurait été paralysé quelques seconde. Vonkluth s'immobilisa une seconde et en ses yeux on pouvait lire quelque chose ressemblant à de l'angoisse. Pas de la mort, mais de ce qui la précederait. L'air se rarifiait, on sentait comme des piques de glaces rentrant pour toutes les pores de la peaux à des mètres à la ronde. L'aura et la concentration des combattant était à leurs maximums. Mais celle de Vonkluth se relacha une seconde donc, et Vincento bondit, de toute sa force, et assena un coup de pied demi lune dans la tête du vagabond, tête qui manqua de se décoller. Quand il retomba sur ses pied, ce fut pour frapper à nouveau la bête qui encaissa un crocha du droit prodigieux dans la machoire. Vincento fut impressioné de ne pas la voir voler en éclats. Le coup aurait abattu un arbre. Un second coup fut paré par la main libre de Vonkluth. Vincento se démit le bras pour pouvoir esquiver le coup fulgurant qui passa àune distance inquiétante de son torse. Des piques acérésse dréssèrent et vinrent perforer la main de l'homme bête qui lacha prise.
Valentine bondit legerement en arrière et se remit le bras.

Vonkluth a demi prosterné avait les vêtements taillés de partout. Il saigait de partout et s'était beaucoup vidé. Le manque de sang avais diminué ses force. Il n'en revenait pas, les coups qu'il avait crut puissant n'avait en rien attient Vincento Valentine. Il se demandait maintenant comment il avait pu attendre son adversaire auparavant. L'éffet de surpprise certainement. C'est blessures refermée, Vonkluth arrêta sa transformation. Il commença a rire tel un homme plongé dans l'ivresse. Etait il devenu fou ?

-Moi, fuir devant toi, comme c'est drole. Quel honte que de fuir le combat de que j'ai attendu depuis si longtemps. Et tu veux trouver un autre disciple, alors ne tue pas sa famille ou tu repartira sur un nouvel écheque. Le combat n'est pas fini.

Vonkluth sortit de sa sacoche une bouteille, l'ouvrit et avec dégout but la totalité de son contenu. Il sortit de sa folie, ce sang lui avait redonné force et vivacité. Puis le vent se leva, d'un geste de du bras un vent émana de la terre et propulsa Vincento Valentine hors de porte de Vonkluth. Puis les mur des maisons désertée de la rue, s'écroulèrent et d'enormes bols s'élevèrent dans les airs. Le vent n'obéissait plus aux logiques de la nature, Un vent provenant du sol soulevait tout ce qui passait au dessus, un autre poussait l'objet l'éloignait de Vonkluth. Voncento ne pourras pas l'approché de manière normale. Trois mini-tornade balayaient la rue détruisant tous sur leurs passages. Les blocs de roches volaient a grande vitesse dans les airs. Puis Vonkluth lança son pieu, le guidant de sa magie. Pierre et pieu volèrent de manière inquiètante vers Vincento Valentine. Il puisait toute sa puissance dans sa haine pour son ennemi. Au loin, les soldats impériaux se rapprochaient.

Concentré sur le pieux qui lui fonçais dessu Vincento fut cogné de partout par les enorme débrit de ce qui avait été des maisons. Vonkluth n'en revint pas, Vincento lui avait arracher le pieux avec un énorme facilité. Vonkluth essayait d'en reprendre le contrôle mais arrivait tous juste a le faire vaciller. Seulement plus le pieux sa rapprochait, plus l'emprise de Vincento s'affaiblissait bien qu'elle resta très forte. Au dernier moment, Vokluth parvint a reprendre le dessus et à éviter l'empalement. Vincento était vraiment très fort. Vonkluth rangea son pieux, trop dangereux pour lui et se concentra sur tous les débris, qui formait une frontière sphérique entre Vincento et lui, qui frappèrent Vincento de tous les côté. "La prison de la pénitence" avait nommer Vonkluth, le sort qu'il avait travailler depuis six cent ans. Contrairement a sa transformation qui n'était qu'un métamophose inaboutit en loup, se sort était un véritable exploit. Si ceci n'arrivait pas a faire broncher Vincento, Vonkluth ne pourrat plus rien faire.
Au loin l'armée imperial se rapprochait dangereusement. Elle n'était plus qu'à quelques rues.

HRP : Vincento, même si tu arrive a repousser quelque debris, il y en a trop pour que tu les repousse tous.

Vonluth n'en revenait pas, Vincento avait réussi à sortir de sa prison. Le sort ultime de Vonkluth, son dernier espoir de vaincre Valentine c'était envolé. De plus, Valentine venait de retirer son chache-oeil, ce qui ne présageait rien de bon. Vonkluth devait a tout prix éviter le corp à corp. Pour la première fois, l'inquiétude gagna Vonkluth. Il annula son sort qui ne servait plus rien. Vincento ne risquera certainement plus le cout d'une lévitation. Vonkluth arrèta également le vent qui sufflait dans la rue et concentra toute son énergie sur son adversaire pour l'empecher d'approcher. Il ne lui réstait plus qu'à retenir Vincento jusqu'au levé du jours. Plan que Vonkluth abandonna lorsqu'il vit les lances des soldats au coin de la rue, il ne voulait que des inconnus meurt par sa faute. Il redirigea son énergie au sol et souleva une grande quantité de poussières pour ralentir Valentine.

-Je ne veux pas qu'ils périssent qu'importe mon honneur.

Vonkluth saisit l'inconnu inconscient par la cape qu'il portait, et s'envola porté par les vents. Puis, rassemblant ses dernières forces souleva de la poussière et forma une sorte de monstre gigantesque pour faire décamper les soldats dont la vitesse avait subitement celle d'un chevale de course. Vonkluth continua sa fuite a travers les toits en diretions de palai impérial pour y déposer son passagé en laissant derrière lui l'épée qu'il avait porté pendant six cent ans.

Vincento, assoiffé voulait plus que tout tuer quequ'un. Son élève avait pris la fuite-sage déçision- mais la présence de gardes dans le coin pourrait peut être calmer sa colère. Il rabaissa son cache oeil sur l'un de ses yeux. Le "monstre" de poussière se dressait devant lui. Son appelation même aurait fait rire un marmot. Vincento la balaya d'un geste de la main. De toute façon la poussière ne pouvait le blesser et cette chose ne restait qu'une simple illusion, un vulgaire tour de passe passe qui aurait put etre donné envie à un barde en manque d'inspirations. Le fait que Vonkluth ait laissé derrière lui son épée fit sourrire-interieurement- Valentine. Il n'avait nullement besoin dans ses troupes d'un imitateur. Il fallait que le vagabond trouve sa propre voie. De toute façon au voir de l'usage fait de la lame, cette technique de combat n'était pas faite pour lui. Vincento Valentine, à nouveau maître de lui même, alla récuperer l'énorme bout de métal lui tenant lieu d'épée. Il la rangea dans son étui, dans son dos.

¤Je vais tuer ces misérables soldats. Peut etre calmeront-il une partie de ma colère? C'est fort peu probable. Comment vais-je procéder? D'abors je pourrais leur arracher la langue. Ou les paupières, en general ils crien mieux après. Je verrais bien. Mon disciple nouvellement épris de justice pourrait avoir la tentaion de leur venir en aide, auquel cas la mort l'attendrais. Je l'attendrais.¤

Un rire plus sinistre que les futurs cris d'agonie que pousserons les soldats dans un futur proche retentit dans la capitale.

Vonkluth, arrivait au palais tandit qu'il entendait de cris d'agonie. -Pas si rapide que ça des soldat la fuite pensa Vonkluth, il ne pouvait plus retourner la-bas! il n'en avait plus la force. Il rencontra des gardes et leur confia les soins de l'inconnu. S'en un mot, il repartit dans la nuit a la recherche d'une ferme pour se nourrir.

HRP :

HRP=Je pense aussi.