Il pleuvait averse ce soir là, le tonnerre grondait, les rues étaient désertes. Pas un chat, pas un chien, pas un rat, pas de vie, pourtant, une ombre, sortie de nul part, marchait au beau milieu de la rue.
Dans une tarverne, les coucours de bras de fer et de descente, les éternelles bagarres d'ivrogne, les charmes aux danseuses, toutes ces activitées furent interrompues par l'entre d'un homme tout de noir vétu, chose qui n'aurais jamais eu lieu pour s'il n'avait été aussi étrange. La stature d'un guerrier,tout de noir vétu, encapuchonné, il portait un long manteau de cuir, descendant jusqu'au bas des jambes, sur une veste en cuir fermée par des attaches argentée. Il avait les main gantées de cuir et portait une sacoche en bandouillèrent.. Il portait un pantalon en tissu rentrant dans des bottes de cuir attachées par des boucles argentée, il s'avanca dans l'entré. Que faisait un homme comme lui dehors par un temps pareil, la plupart des clients présent dans cette taverne étaient resté par peur de l'orage.Le plus surprenant était encore l'énorme épée qu'il portait au dos maintenue par une sorte de ceinture à boucle. Cette épée devait être aussi grande que lui, d'environ 40 cm de large et jusqu'à peut être 4 cm d'épaisseur au maximum. Il posa son arme sur une commode dans l'entre comme le suggèrait la règle.
D'une marche lourde l'homme alla s'assoire au bar et demanda un grand verre de liqueur. En entendant sa commande certains hommes s'étouffèrent avec leur boisson. La respiration rapide et saccadée, cette inconnu était nerveu, il avala d'une traite son verre, reposa ce dernier. Toujours nerveu, il sortit une bourse lorque on entendit un bruit d'effondrement dans l'entrée. L'homme paya au double du prix de son verre et parti. Dans l'entrée, la commode s'était écroulée sous le poids de l'épée. L'argent supplémentaire était pour les frais de réparation.