Intense moment de nostalgie, Vonkluth était de retour en Sylvanie, la terre qui l'avait vu naitre deux fois et celle qui le verra certainement mourir, la terre où il avait vecu ces moment les plus heureux et les plus désolants, celle qui devindra le théatre de sa vengeance. Le soleil se couchait, ont n'entendait une seule espece vivante au alentour, plus rien a l'exeption de la mort, les tombes ouvertes, les cadavres mobiles, la mort se reveillait. Vonkluth se tenait devant se qui devait s'appeller durant un temps plus ou moins ancien, une forteresse imprenable. Il passa sous un porche en haut duquel était gravé l'insigne des de Gortz. Au pied de se porche se trouvait les restes d'un immense porte en chêne en phase de décomposition. Il arriva dans une immense cours exterieur entourée de galeries. Au centre se trouvait un arbres noir qui semblait saccrocher au peu de vie qui lui restait.
Il entra dans un grand hall, aucun meuble, aucune tapisserie, rien, tout avait été piller. Le hall n'était pas une exeption, les couloirs, les chambres, les salons, même les placards était "desert". Tout en hétrant dans les couloirs, Vonkluth sentie un force magique, une force noir, elle resemblait a celle du sorcier de Gortz, probablement celle de Franz Falhenberg, elle devait être imprégnée a une piece, un bureau de recherche ou quelque chose d'autre. Il suivi cette piste jusqu'a une porte au fond d'un coloirs. Plus Vonkluth s'en approchait plus il sentait la pression magique, jusqu'à ce qu'il ne puisse plus avancer d'un pas. Ce sort semblait le contraindre a reculer. Vonkluth utilisa sa propre magie pour tenter de disiper ce sort en vain. Un soupir sortit de la bouche de Vonkluth. Il sortit alors de son sac un parchemin, le deroula et le dirigea vers la porte. Le parchemin s'enflamma et Vonkluth put continuer a avancer. L'effet du sort était toujours actif, mais moins intense, et il put arriver jusqu'à cette porte des tenebres. La porte était fermé a clés, pourtant celle ci ne comportait pas de serrure. Mais le plus etrange était que Vonkluth ne pouvait retirer sa main de la poigné, ou plutôt, sa main ne lui obeissait plus. Vonkluth perdit alors son calme. Il prit tous l'elan que lui offrait son bras droit (celui qui est immobile), et donna un violent coup d'épaule dans la porte.
Le voici donc dans le bureau de Franz Falhenberg. Vonkluth était encore sous le choc, aprés les difficulté qu'il avait affronté, il ne s'attendait pas a recevoir si peu de resistance de la part de cette porte ensorceler. Ce bureau était spatieux, et bien ordonné, a droite se trouvait une grande étagère couverte d'un bon nombre de livre, a gauche une rangé de squelettes des differentes races du monde. On pouvait reconnaitre le corps grand et fin d'un elfes, ou celui petit au museau long d'un skaven. En face se trouvait une table de travaille, seul éléments desordonnée de la piece entourée par deux autres étagères sur laquelle était posé diverse objets sans trop d'importance pour le vampire. Vonkluth s'approcha du bureau, un livre y était ouvert, il garda la page et lut la couverture du grimoire "Les artefacts maudits" . Il lut quelques ligne de la page, en tourna quelques une avant puis après. Vonkluth s'arreta sur une illustration, probablement l'objets qu'étudiait et que convoitait Franz Falhenberg. Aussitôt des images volèrent dans la tête de Vonkluth, il se souvint alors, qui était Falhenberg, ce n'était pas possible, cela ne pouvaient être que des coincidences. Vonkluth essaya de mettre de l'ordre dans ses pensés lorsqu'un évènement vint faire le travail pour lui. Un bruit sonna en echo dans le couloir. Il arracha les pages concernant l'artefact, et plongea les documents dans sa sacoche, non se n'était pas suffisament sûre, il s'empara alors d'un des nombreux couteaux qui peuplaient son manteau, releva une manche et s'entailla l'avant bras tout en essayant de se concentrer pour ralentir la cicatrisation rapide d'un vampire. Il enfouit les document dans son bras, endroit le plus sûre pour ne pas les perdres. Avec la torche qu'il possédait il mit le feu aux l'augit et s'enfuit en vitesse.
Quelqu'un rodait au alentour, Vonkluth n'arrivait pas a dicerner s'il s'agissait un hummain ou non, mais a une heure si tardive Vonkluth en doutait fortement. Il s'empara de trois couteaux qu'il cala entre les doigts de la main gauche et s'entailla la main droite afin d'induire ses lames de son sang, poison mortelle pour les veritables êtres vivants. Il courait et a dire vrai il avait peur, peur que ce soit le monstre de ses cauchemars. Tant qu'il ne serait pas sortit de ce maudit couloirs, il aura peur.
Lun 16 Avr - 22:51