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 Un petit village

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Gorbad
Seigneur de Guerre
Gorbad


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MessageSujet: Un petit village   Un petit village Icon_minitimeLun 9 Avr - 14:40

Le soleil se levait à peine sur un petit village du Wissenland, un petit village du nom de Wilec, lorsqu'un fracas se fit entendre. Un nuage de poussière se levait au loin. Les villageois furent surpris de cela, jusqu'à ce que l'on entende un hurlement de loup. Trois loups arrivèrent, chevauchés par des gobelins. Les quelques soldats qui étaient là prirent leurs arcs et rapidement six flèches s'envolèrent, fauchant les eaux vertes. Les soldats se regardèrent abassourdis puis vint un autre groupe, ce goupe comprenait la Waagh de Gorbad. Plusieurs tambours se mirent à battre dans un rythme plus ou moins homogène.

Les villageois se rendirent compte de la menace. L'armée de peaux vertes avançait vers le village et la garnison de six soldats ne savait pas comment réagire. Un groupe de volontaires fut désigné pour fuire le village et aller avertir les autres villages et principalement Nuln. Pendant ce temps les autres devaient retenir les orques et les gobelins. L'armée arriva vers le village. A sa tête se tenait gorbad monté sur son char. Dans sa main droite il tenait sa hache et dans l'autre, son croc runique qui brillait. L'armée fut lancé lorsque le seigneur orc hurla le cri de guerre habituel, crié ensuite par ses troupes:

WAAAAAAAAAAAAAGH

Un groupe d'archers tira une volée et une vingtaine de flèches enflammées volèrent vers le village. Les loups, les araignées et les sangliers entrèrent rapidement à l'intérieur du village. Les soldats furent écrasés ou dévorés puis les habitants subirent le même sort. Les guerriers orques pénétrèrent dans le village en brisant les faibles murs des maisons et en récupérant tout ce qui pouvait se manger tandis que les gobelins récupérèrent se qui pouvait se vendre. ou s'échanger contre la nouriture des orques.

Gorbad entra fierement dans les décombres du village et apperçut une femme qui essayait de se cacher des peaux vertes. Il s'approchat d'elle et la souleva d'une main. Il lui parla dans un commun aproximatif:

Toi va dir ton chef ke Gorbad Grif d'Fer é re'vnu é il aller détruir lé zom.

Le seigneur de guerre lachat la femme qui partit aussitôt en fuyant. Gorbad éclata de rire d'un rire rauque qui fut suivi par les guerriers de son armée. Puis, le chef orque se leva et prit la parole devant tous ces soldats:

Mint'nant on va atendr lé zumin. Si la fam va chèrché son chef y fo s't'nir pré. J've sa lance rok é ça lance tré.

Le "sa" était accompagné de trois doigts tendus et le ça d'un seul. Il alla ensuite s'assoire sur un "trône" qui était en fait constitué de pierres des maisons où étaient accrochés quelques têtes de villagois. Les orques se mirent au travail et les lances roc et la baliste furent rapidement créés malgré la bétise des constructeurs. Ce genre de machines étant d'une simplicité énorme et les gobelins étant un petit peu moins crétins que les orques purent "superviser" les créations.

Il ne manquait plus aux peaux vertes que d'attendre la réaction humaine.
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Siegfried Von Lutz
Comte Electeur
Siegfried Von Lutz


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MessageSujet: Re: Un petit village   Un petit village Icon_minitimeLun 9 Avr - 21:52

[HRP: dsl pour la tartine, si tu trouve cela trop long alors je peux essailler de raccoucir... silent ]

Le seigneur Siegfried travaillait avec ses conseillés dans la grande salle du palais quand un des gardes entrât dans la salle :

_Mon seigneur ! Toutes mes excuses pour cette interruption mais des gens demandent absolument à vous voir. Ils disent que leur village s’est fait attaqué par une horde d’Orcs et de gobelins.Lançât le sergent d’arme.

Siegfried, ainsi que ses conseillé regardaient avec étonnement ce garde et reçurent avec horreur les nouvelles que celui-ci venait d’annoncer.


_Faites-les venir sergent !

Le garde s’exécutât alors et fit venir un groupe d’une demi-douzaine de personnes qui s’agenouillèrent en face du souverain. Johannes, le conseillé militaire du Wissenland ouvrit alors la parole :

_Alors ? Que se passe-t-il ?

Dans le groupe de villageois se trouvait un jeune soldat. Celui-ci ouvrit la parole non sans une certaines émotion.

_Seigneur Von Lutz ! A l’aube, le village frontalier de Wilec a été attaqué par une horde d’Orcs et de Gobelins. Conformément aux plan de feux votre père, le capitaine de la garde de Wilec à envoyer des gens vous prévenir ainsi que les villages les plus proches de Wilec .

_Et le village ? Qu’en est-il ? Demandât Karell l’aide de camp de Siegfried.

_Nous n’en savons rien mon seigneur, nous sommes partis avant l’attaque mais je doute que notre garnison ai pu tenir le coup face à la masse d’ennemis qui y marchaient.

_A combien estimez-vous les forces ennemies jeune homme ?s’enquit alors Johannes. Le soldat le regardait alors dans les yeux.

_Je ne sais pas exactement, probablement plusieurs bataillons.

_Bien soldat !Fit le général avant d’appelé un garde dans la pièce. Vous là, apportez moi tout de suite une carte du district de Kircheim je vous prie.

Le soldat se dirigeât alors vers la salle des cartes qui jouxtait la salle de réunion, tendis que le Seigneur Von Lutz remerciait le jeune soldat pour ses informations. Wilec faisait effectivement partie du district de Kircheim, qui faisait office de chef de district car elle était la ville plus importante. On revins alors avec une carte de la région intéressée et Johannes commentât alors ce qui s’y trouvait :

_Bien Siegfried. Ici vous avez Kircheim. Au dernier recensement nous avons dénombré 5000 habitants. Nos forces sur places se montent à une compagnie [+/- 200 hommes] d’hallebardiers et une compagnie d’arquebusiers ainsi que quelques troupes à cheval. Wilec se trouve à environs deux lieues de là (environs 50km). Entre les deux vous avez les villages de Wislaw, Jiskauw et Grönendorf pour les plus importants dont la population ne dépasse pas les 1500 âmes. Berik, à moin d’une lieue de Wilec est, comme vous le voyez, un village frontalier, et comme Wilec, sa population ne doit pas être supérieure à 200 âmes environs. En ce qui concerne le terrain, il est assez vallonné et parsemé de zones boisées. Les garnisons de ses villages frontières ne s’élèvent actuellement qu’à environs dix hommes [une escouade] en armes mais peuvent recevoir des renforts de la milice soit une septantaines d’hommes disponible immédiatement et aussi de Kircheim en moins d’une heure.

_C’est assez léger comme garnison Johannes non ?
Dit alors Siegfried

_Oui, en effet et je l’ai d’ailleurs dit à feux votre père mais celui-ci avait insisté pour les réduire vu le climat de paix relative qui avait cours dans cette région. Johannes se releva alors de la carte et fit face au souverain. Il repris alors la parole d’un air grave, presque paternel car ils se connaissent depuis de longues années. J’ai toujours dit que réduire les garnison était de la folie et maintenant que ton père est mort, des seigneurs tentent de prendre nos terres. Ils pensent sans doute que notre état est affaibli par cette perte et veulent prendre une part de gâteau.

_Je vois…


Soupira Siegfried en regardant la carte sur laquelle Johannes avait mis un pion noir sur Wilec signe qu’il considérait déjà ce village comme perdu. Pendant qu’ils discutaient, un archiviste déployait des étendards sur la carte pour indiquer la position des différentes unités. Le souverain la regardait puis posât des question sur la disposition actuelles des troupes dans la région quand il fut interrompus par l’arrivée d’un nouveau garde annonçant la visite d’un envoyé de Kircheim, celui-ci était accompagné d’une femme qui remis le message de Gorbad : Une déclaration de guerre ni plus ni moins. Les conseillers se retournèrent alors vers Siegfried qui sentait son cœur mitrailler dans sa poitrine.

_Quels sont vos instructions mon seigneur ?

Demandât alors Junker le conseillé technique responsable de la production industrielle de la province mais également des pièces d’artilleries. Les conseillés attendaient tous une réponse du souverains. Celui-ci savait que de sa gestion de cette guerre allait dépendre son avenir à la tête du Wissenland et de l’empire tout entier. Il finit alors par répondre :

_Mettez le district de Kircheim en alerte maximum, faites relever la milice dans chaque villes et villages. Je veux que vous envoyiez des éclaireurs reconnaître les environs de Wilec et trouver le plus de renseignement possible sur les forces adverses. Je veux également que soit envoyé dans ce district une compagnie de sapeurs de combat pour fortifier les villages autour de Wilec, un bataillon mixte supplémentaire [deux compagnies d’hallebardiers et une compagnie d’arbalétriers] et une compagnie de cavalerie légère pour les reconnaissances. En se qui concerne les défense hors de ce district, je veux que ceux adjacent renforcent leur garnisons à la frontière ainsi qu’avec la frontière qu’ils ont avec le district de Kircheim. Toute la province doit être mise en état d’alerte et mobiliser toutes les troupes régulières du territoire. A ce propos Johannes je veux que vous me fournissiez les effectifs complets de l’armée régulière et des unités spéciales ainsi que ceux de la milice. Vous, Junker, je veux que vous augmentiez le rendement de nos manufactures pour les préparer à la production de guerre si nécessaire, je veux également un document sur la productivité de nos usines. Des messagers doivent également être tenu prêt au cas où nous aurions besoins de l’aide de nos alliers. Nous aviserons ensuite en fonction des rapports que nous aurons sur l’ennemi.

Les scribes qui devaient retranscrire les réunions avaient alors pris un parchemin pour écrire les directives de Siegfried, il les donnèrent alors à des messagers qui repartirent pour Kircheim, Husseldorf, Sütlitz et Drno [à lire Deurnau] les chef-lieu des districts adjacent à celui de Kircheim. Siegfried entendit alors le monastère de la capitale sonner l’heure du dîner alors que les messagers venaient a peine de partir. Il espérait avoir des informations avant le crépuscule. Le seigneur jeta alors un autre regard sur la carte et fixa le pion noir posé sur Wilec. Tendis que ses conseillé et les messagers quittaient la pièce. Seuls restaient quelques gardes et son aide de camp.

_Bon sang, un règne qui commence bien… Soupira-t-il.

Karell s’approchât alors de lui et lui posât une main sur l’épaule :


_Ne ne t’inquiète pas Siegfried. Nos hommes savent se battre et nous repousserons ces ingrats hors de nos terres. De plus, j’ai souvent entendus des récits qui disaient que les jeunes seigneurs commençaient souvent leur règne l’épée à la main…

_Je sais Karell, j’ai aussi entendu ces histoires et j’espère être digne de ce qu’à laisser mon père.

_Que comptes-tu faire toi ?

_Hé bien… Si la menace ce confirme alors j’irai à Kircheim mais avant, et si l’ennemi est trop nombreux, j’attendrai une réponse de nos alliers. Mais avant tout, je ne veux pas régir trop lourdement avant d’avoir reçus les rapports de nos éclaireurs…


Les messagers arrivèrent à destination quelques heures après avoir quitté Nuln et des unités de cavaliers léger quittèrent Kircheim pour Wilec afin de se rendre compte de l’ennemis. Si ils ne revenaient pas avant l’aube le lendemain, la menace serait considérée, par défaut, comme sérieuse…


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Laskaris le Sage
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MessageSujet: Re: Un petit village   Un petit village Icon_minitimeMar 10 Avr - 13:27

Laskaris arriva a Nuln, il fut d'abord étonné de voir une ville qui d'ordinaire était si paisible s'activer à une heure aussi tardive. A part les commerce et les industrie d'arme, tout était fermé. Toute la ville semblait se préparer a la guerre et jamais Laskaris n'aurait penser, lui qui avait vécu si longtemps auprés des elfes, une tel solidarité chez les Hommes. Il arreta un passants pour s'informer, on lui repondit que la ville avait lancé les plans d'alerte établit par le seigneur Von Lutz, pour les cas de guerre.

-Je vois, en temps de guerre, tous les habitant travaillent dans les industries de guerre, voilà qui est astucieux, si l'allure ne s'arrete pas d'ici demain, l'armé disposera d'une bonne artillerie. Je croix que je n'aurait même pas besoin de l'évaluer. Après l'égoiste (De Gorzt) et le tyran (Cel Mare), voici le Saint Homme.

Laskaris avancait sur la grande rue qui menait à la maison de Comte. Il y avait de nombreux poste de recrutement de milicien, et nombreux étaient les volontaire. Si tous ce passait ainsi dans toutes les villes du Wissenland, l'armé pourrais atteindre des proportions très impressionnantes. Laskaris arriva devant le grand portail qui fermait la grande demeure du comte. Les deux gardes, des halbardiers, brandir leurs armes vers Laskaris, attitude tout à fait légitime en temps de guerre.

-Qui êtes vous, monsieur? Vous ne pouvez entrer sans une raison valable.

Laskaris mit pieds à terre.

-Je suis Khenhyr Laskaris, sorcier de l'ordre de Jade, je viens de Wilec, je vien donner des informations et mes services au votre seigneur.

Les gardes retirèrent les armes.

-Suivez moi, dit l'un deux.
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Gorbad
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MessageSujet: Re: Un petit village   Un petit village Icon_minitimeMer 11 Avr - 18:16

Autour de Wilec les charognards ne volaient plus depuis que les peaux vertes les avaient abbatu pour les dévorer. Quelques chevaucheurs de loups avaient été envoyés aux alentours et une palissade avait été levée autour du village. Ce n'était une palissade développée car elle ne faisait pas plus d'un mètre cinquante de haut mais contre celle-ci avait été placés la baliste ainsi que cing autres que Gorbad avait demandé à ses guerriers. Les trois lances rocs étaient aussi là, chargés avec les crânes des villageois.

Le seigneur de guerre orque était assi sur son "trône" de fortune avec un semblant de carte du district de Kircheim qui avait été tracé d'après les renseignements des éclaireurs. Sur l'emplacement de Wilec se trouvait une tête de mort verte. Lorsqu'ils revinrent, les éclaireurs signalèrent à Gorbad que les villages alentours commençaient à s'activer. L'orque se leva et monta sur son char, suivi par ses deux chamans. Il se dirigea vers une grotte et, une fois descendu, entra à l'intérieur avec les lanceurs de sorts. Pendant quelques heures il ne se passa rien puis les trois orques sortirent et le chef cria quelque chose. Dix gobelins en robe noire avec un énorme trident pour deux entrèrent dans la grotte.

Les deux chamans retounèrent au camps pour donner un ordre et septs énormes cages roulantes s'approchèrent de la grotte. De celle-ci sortirent les gobelins sauf un groupe ainsi que six bêtes immondes, tares de la natures et mutations de chamignons avec un bouledogue qui possède une bouche capable d'avaler un gobelin entier d'un seul coup ainsi qu'un cheval en s'y prenant à deux fois (Je parle évidement de mes toutous préférés: les squigs des cavernes.) Les créatures furent poussés dans les cages avec les tridents et ramenées au village avec un précaution extrème.

Le seigneur de guerre s'approcha de la palissade et montra quatre ou cinq endroits. Quelques instants plus tard y flottait l'étendard de l'orque. Un crâne d'orque tenant dans sa bouche deux humains. A côté de la tête se trouvait une représentation de la hache de Gorbad ainsi que celle de son Croc Runique. Gorbad regarda de nouveau la carte et dessina une série de crocs à l'emplacement de la grotte. Pendant qu'il faisait cela deux tribus d'orques sauvages furent envoyés retourner en arrière pour chercher à augmenter l'armée des peaux vertes.
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Siegfried Von Lutz
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MessageSujet: Re: Un petit village   Un petit village Icon_minitimeDim 15 Avr - 13:29

Après l’envoi des messagers munis des premières directives de Siegfried quand à la réaction face à la perte de Wilec. Le souverain avait fait quémander sont état-major et étaler des cartes sur les districts voisin de celui de Kircheim. Pendant que le personnel organisait la salle de réunion pour facilité le travail de l’état-major, Siegfried pris Johannes à part pour lui exprimer ses craintes :

_Johannes, tout ceci est mon baptême du feu et je ne sais trop comment réagir avec les troupes. Selon toi, devrions-nous attendre ou attaquer directement ?.Lançât le souverain.

_Hé bien, le mieux serait de pouvoir les attaquer dé que possible car si nous attendons trop longtemps nous risquerions d’être en mauvaise posture. Cependant, dé que nous aurons des informations plus précise sur Wilec. Nous pourrions envisager des raids ponctuels et localisés histoire de les épuiser un peux en attendant qu’une armée conséquente se forme pour la contre-attaque mais autant te le dire tout de suite Siegfried, Cela ne sera pas facile.

Siegfried pris alors une mine songeuse, les prochains jours, semaines ou mois allaient être très intense pour lui. Il continuait a discuter avec son conseillé militaire et Karell un bon moment avant d’être rejoins par Scipion, le responsable de tout le réseaux de renseignement du Wissenland. Scipion était un pseudonyme et personne ne connaissait son vrai non. Il était un homme discret assez taciturne et qui choisissait ses mots avec soin ce qui le rendait parfait pour sa tâche et pour les négociations. Celui-ci apportait déjà quelques informations de la région de Wilec. Scipion recevait des informations d’une petite tribu d’elfes assez discrète parmi lesquels il avait pu recruter quelques bons informateurs. Le peux d’informations qu’il avait reçus cependant indiquaient que Wilec avait été complètement rasée et ses habitants massacré. Ses rapports faisait état également d’une force assez faible pour être battue par la première armée du Wissenland et que celle-ci commençait a fortifier ses positions.

Le groupe fut ensuite rejoins par Walther Gerstner, le responsable de l’information du Wissenland et le directeur des scribes impériaux dans la province et à qui Siegfried lui donna un parchemin écrit un peu plus tôt et lui demanda de lancer immédiatement les affiches de mobilisation des troupes et de la nation. Le groupe fut alors rejoins par le reste de l’état-major a qui Johannes expliquât de nouveau la situation avant de se pencher sur les cartes des districts menacé mais sans prendre de décision supplémentaires sur la défense de Kircheim préférant attendre des informations supplémentaires sur l’ennemis.

L’état-major était donc composé de :
Siegfried Von Lutz, son aide de camp : Karell, ses conseillés militaires (Johannes), techniques (Junker Von Klutt), du renseignement (Scipion), civil (Hubert Gantz), en communication (Walther Gerstner) des différent maîtres des ordres de chevalerie ( 4 maîtres chevalier) et de magie ( 4 maîtres magiciens).

Les rapports suivant sur la situation des forces de Gorbad arrivèrent très tard dans la nuit par une estafette montée sur griffon et qui confirmait ses forces fortifiaient leurs positions avec des palissades et quelques balistes et faisait flotter son étendard sur le terrain conquis. Un peux plus tard, un autre messager, de Scipion celui-là, arrivais au palais pour faire état de mouvement de troupe sur les arrières de l’ennemi. Une discussion s’ensuivis alors sur les raison de ses mouvements. Discussion au terme de laquelle les conseillé et l’état-major demandèrent à Siegfried d’autres instructions. Celui-ci, malgré sa tension, gardait son calme et sa réserve :


_Je propose de renforcer nos troupes dans ce district et d’envoyer un bataillon mixte hallebardiers/arbalétriers et un bataillon mixte Lanciers/arquebusiers plus une compagnie supplémentaire de sapeurs de combat pour les troupes à pieds. Je propose d’activer deux bataillons de chevalerie de l’ordre du soleil flamboyant et de les envoyer sur place et envoyer une compagnie de griffoniers. Quand à l’artillerie, envoyez déjà quatre batteries de nos canons impériaux. Continuez la fortification des villes et villages les plus menacés et reliez-les régulièrement avec des unités très mobiles. Continuez les patrouilles, je veux que chaque parcelle de terrain soit surveillée par terre mais aussi par air…

*****


Citation :
A tous les habitants du Wissenland


Hier à l’aube, notre belle province a été l’objet d’une horrible attaque menée par les hordes d’Orcs et de Gobelins de l’infâmes Gordad. Son attaque lâche et infondée sur le village frontalier de Wilec avant de nous déclarer la guerre… Cette première attaque surprise a été menée avec une cruauté envers nos frères et soeurs qui ne peut restée impunie. C’est ainsi que moi, Siegfried Von Lutz, Seigneur du Wissenland et commandant en chef de ses armées, décrète par la présente une mobilisation générale de toutes nos troupes régulières et conscrites.

Ainsi :

- Tout hommes de 17 à 38 ans, paysans ou villageois, satisfaisant à la loi de milice, devront se présenter au bureau de milice du village ou de la ville où ils habitent.

-Toutes femmes vivant en ville et âgées de 20 à 35 ans devront se présentées aux bureau de production d’urgence pour augmenter la production de nos usines pour l’effort de guerre.

-Conformément aux plan de solidarité, les familles paysannes ayant 4 personnes au moins satisfaisant à la loi sur la milice pourrons garder, au plus, un quart de ce nombre pour faire fonctionner leur ferme et devront toutes remettre aux moins 40% de leur productions de nourriture pour le ravitaillement de nos troupes.

-Tout le personnel militaire d’active et de réserve doit rejoindre sans délais la caserne et l’unité à laquelle il est affecté.

-Toutes les montures seront réquisitionnées sans restrictions pour l’effort de guerre ou pour le plan de solidarité aux troupes.

Nos terres sont menacée par une horde de sauvages assoiffé de sang et il est de notre devoir de défendre notre province et d’assurer à nos enfants un avenir décent c’est pourquoi toute personne ne répondant pas à cette appel sera considéré comme déserteur et punis de façon exemplaire par un tribunal militaire.


Implorons le Grand Sigmar pour que Celui-ci puisse nous donner la force de triompher de nos ennemis comme nous avons toujours sût le faire.

Le lendemain de l’attaque, on pouvait lire ce type d’annonces sur la plupart des places des villes et des villages du Wissenland avec quelques variante en fonction de la proximité ou non de la zone de Kircheim où un couvre-feu fut instauré et où toute personne de moins de quinze ans devait évacuer des zones menacées vers des district plus sûr dans des camps construit à la hâte par les ingénieurs. Tous les établissements public des bourgades du district de Kircheim furent réquisitionnés par l’armée pour héberger les troupes et leurs monture si celles-ci en avaient (Ecoles et fermes et mêmes monastères et églises où les soldats recevaient la bénédiction du Grand Sigmar), toutes les industries d’artisanat furent mise à contribution pour l’effort de guerre afin d’équiper les troupes de milices notamment car les réserves d’équipement ne permettaient pas d’équiper toute les troupes que la province pouvaient levée.

Siegfried et son Etat-major analysait encore les dernier rapport parvenus de Wilec quand un sergent d’arme entrât dans la pièce Saluant le souverain et les seigneurs qui l’entouraient :


_Seigneur Von Lutz, Nous avons ici un homme qui prétend venir de Wilec et qui souhaite vous parler.

Le souverain eux un regard étonné, il ne s’attendait pas à entendre parlé d’un rescapé de Wilec avec les information qu’il avait reçus. Il lançât un regard à son E-M avant de se relever de ses cartes et de dire au sergent d’arme :

_Bien, amené-le dans la salle d’audience et apportez-lui de quoi se restaurer.Ordonna-t-il avant de se retourner vers son aide de camp : Karell. Vas le réceptionner et accueilles-le comme nous le faisons d’habitude. Discute un peux avec lui et si tu le juge bon alors je le verrai.

_Bien Siegfried
Répondit alors son ami avant de le saluer et de sortir de la pièce.

Siegfried reprit ses discutions avec son état-major. Il voulait être prudent à présent, cette visite était des plus inattendue et il ne voulait pas encore prendre ce qui lui semblait déjà être un risque. Tendis que Karell allait recevoir Laskaris dans la salle d’audience, un soldat lui donnait les informations dont l’aide de camp avait besoin sur cet homme et notamment son nom. Karell reçus donc Laskaris dans la salle d’audience, sobrement mais élégamment décorée. Cela pour symboliser l’humilité dont voulais faire preuve le souverain. L’aide de camp était debout dans un coin de la pièce lorsque le sage entrât par la grande porte. Il s’avançât légèrement lorsque Laskaris apparut encadré par deux gardes impériaux quis e postèrent de part et d’autre de la porte d’entrée:


_Bonjour à vous Laskaris et bienvenue en notre palais. Veuillez excusez toute cette agitation mais il se trouve que nous sommes fort occupé en ce moment et surtout notre Seigneur Von Lutz. Il m’a chargé de vous recevoir.

Karell désigna alors la table où se trouvait un pot de fruits et une cruche d’eau au cas ou le visiteur voudrait se restaurer, comme le voulais la règle d’hospitalité à Nuln, puis il continuât en se mettant face au mage, la table entre eux deux :

_Vous avez des informations concernant Wilec il me semble ?


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Laskaris le Sage
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MessageSujet: Re: Un petit village   Un petit village Icon_minitimeDim 15 Avr - 14:50

Laskaris inclina la tête en signe de politesse. Il ne fut pas étonné de recontrer un subordonner a la place du seigneur, étant donner la situation ce dernier devait prendre des précaution avec ceux qu'il recevait. Laskaris but un verre d'eau mais ne toucha pas au fruit, bien qu'Harathoi soit une monture elfique, il lui avait fallu chevaucher toute la nuit pour atteindre Nuln depuis Wilec tout en évitant les barage dresse pour ne pas perdre de temps, oui, Laskaris avait soif. Lorsqu'il reposa le verre sur la table, il jugea son interlocuteur de son regard, il compris aussitôt qu'il n'avait finalement pas beaucoup de nouveautées à leurs apprendre. Laskaris alla donc droit au but.

-J'ai vu les orques detruire Wilec et je sais que l'armée que vous requisitionnez n'atteindra pas la moitié de celle de Gorbad.

Laskaris perçut alors en Karell de la surprise et de la septicité. Il se doutait bien de la rection de son interlocuteur. Laskaris s'empra d'une poire et en coupa des morceaux avec la faucillle qu'il portait a la ceinture avant de les porter a sa bouche. Il reprit la parole et décrivit l'attaque des orques de la manière la plus éxacte qu'il soit. Il expliqua que ces orques ci ne connaissait pas le sens du mots reculer, il ne faisait que charger. Gorbad devait tenir son armées d'une poigne de fer.

-Ces orques, n'ont attaqué Wilec que dans un seul but, défaire votre seigneur, il est jeune, et n'a jamais connu de guerre a ce que j'ai cru entendre et ce Gorbad doit le savoir aussi, il a l'air plus inteligent que les autres chefs orques. Il n'a attaqué le village qu'avec le minimum suffisant de ses troupes, soit pour vous feinter, soit pour eviter les crise de jalousie au sein de son armée.

Karell commencait a s'interreser, il devait avoir comprit que Laskaris ne mentait pas. Laskaris continua dnc son exposé.

-Il y a autour de Wilec trois grande forêts. Dans l'une d'elle se trouve une clan elfique, d'où ma presence dans cette comtré, Gorbad le sait et n'ose pas s'y aventurer pour l'instant. Ces fôret sont très denses, se qui pourrait expliquer le fait que troupes volantes n'aient rien repéré, et Gorbad y cache le reste de ses orques. Vous le savez aussi, mais sous Wilec, ou peut trouver un important résaux de galerie souteraine où il peut chacher tous ses gobelin et recruter quelques monstres.

Laskaris marqua un temps d'arret pendant lequelle il but un peu d'eau. Enfin Karell parraissait convaincu.

-Voilà, vous savez tous se que j'avait a vous apprendre, aussi, et je croix que vous purrez en avoir besoin, je vien vous proposez mon aide.
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Gorbad
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MessageSujet: Re: Un petit village   Un petit village Icon_minitimeDim 15 Avr - 15:48

Les différentes tribues d'orques sauvages qui peuplaient la grande forêt étaient à peut près toutes en bons termes entre elles, c'est pourquoi les deux tribus envoyaient par Gorbad purent en réunir deux de plus. Des "architectes" gobelins avaient crés un chariot à pompe snotling, en effet, les orques avaient apperçut les petites peaux vertes trainer autour du village et le seigneur de guerre les avaient invité à venir.

Maintenant les gobelins coordonnaient la mise en place de piège : des pieux camouflés, des trous hérissés de pointes. Une large bande d'herbes sèches avaient été plaçées à peu près à portée de tir des balistes. La bande été "liée" au village par une ligne d'alcool qui n'attendait qu'à être brûlé.

Gorbad était assit, à côté de lui se trouvait ce que l'on pouvait qualifier d'état-major qui regroupait un chef de chaque groupe de son armée : Rogur (son "lieutenant" qui s'occupait des orques noirs), Glub (qui dirigeait les gobelins de la forêt), Gognur ( qui commandait aux orques sauvages), Bluk ( le chaman qui dirigeait les gobelins et les gobelins de la nuit), Zug (un autre chaman commandant les orques "normaux" et les snotlings) ainsi que Trub qui était le plus redouté des Kostos et Morguth, le chaman personnel de Gorbad. A côté d'eux se trouvait huit snotlings qui, comme à leur habitude, devaient imiter tous ce que faisaient leurs "supérieurs". Gorbad montra une forêt dessinée sur la carte en prenant la parole :

Ici l'a dé zefes, y fô pa lé at'ké d'suit. Lé zumin y peuvent v'nir q'd'ici alor on s'prépar. La fo metr dé piège. La le fe doit lé fair peur.

Bluk regarda rapidement la carte avant de prendre lui aussi la parole :

Mé lé zumin zon dé Boum Boum, l'brui va fèr v'nir lé zelf 'ci

Gorbad souriat et se fut Gognur qui répondit d'une voix rauque même pour un orque :

Gé lécé sa(qui était complété par deux doigts) tribu orcs dans le f'ré. Ci lé z'lfe ve v'nir y vas s'kacé le dent sur eu.

Bluk hocha la tête et le seigneur de guerre compléta :

S'non, on fou l'fe au la f'rêt é kom sa on lé t'ras sans prob'.

Puis les snotlings commencèrent à faire ce qu'ils faisaient entre eux au bout de dix minutes : se taper dessus. Gorbad poussa un rugissement et les petits imbéciles verts coururent dans tous les sens en criant.
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Edwards Rüzen
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Edwards Rüzen


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MessageSujet: Re: Un petit village   Un petit village Icon_minitimeMer 16 Mai - 20:37

Un petit homme trapu s'engouffra dans la rue qui donnait sur le palais comtal de Nuln, à son air pressé, on pouvait deviner qu'il avait quelque chose d'important à faire savoir à Siegfried von Lutz.

Il arriva devant la porte du personnel administratif du Palais, qu'il utilisait chaque fois qu'il venait ici, cela lui evité d'attendre des heures que les gardes le laisse passer.
Il salua deux domestiques vétus de gris et de blanc, couleurs du Wissenland, et il grimpa quatre à quatre les marches de l'escalier de service.

Il parvint jusqu'au couloir de l'étage supérieur, là ou se trouvait la salle du trone et ou il comptait bien trouvait Siegfried.
Il suivit le long couloir empruntés par les serviteurs du palais et arriva à la porte, qui donnait sur la salle du trone, gardée par un soldat assoupit.


_ Hola mon brave!
Annonce à ton noble seigneur que l'ambassadeur de l'Averland est là et qu'il a d'importantes nouvelles à lui communiquer.

Le garde d'abord etonné acquiesa d'un signe de tete devant le sérieux du personnage, il pénétra dans la piéce ou se trouvait l'Etat-major du Wissenland et annonça l'arrivée du petit homme:

_ Son honorable majesté est priée de recevoir l'ambassadeur de l'Averland, Sigisbert Stroink, qui a d'importantes nouvelles à lui communiquer!

L'ambassadeur entra dans la grande salle du trone, richement decorée.
Habillé aux couleurs de l'Averland, de jaune et de noir, il salua un à un les personnages présents puis fit une gracieuse réverence à l'égard du souverain de la province.


_ J'apporte de nouvelles d'Averland monseigneur!
continua t'il le dos vouté.
Votre voisin, le comte électeur Edwards Rüzen von Tempelhof est dans la meme situation que vous, et propose de combattre ce fléau ensemble.
Il m'a demandé de vous en faire part et de lui faire parvenir au plus vite votre réponse.

Le petit homme se releva et fit un large sourire à l'assemblée, il n'attendait plus que la réponse du comte électeur pour continuer son discours...
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Siegfried Von Lutz
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MessageSujet: Re: Un petit village   Un petit village Icon_minitimeJeu 17 Mai - 17:32

1° Karell et Laskaris :

Karell reçut avec un certains scepticisme les paroles du vieux sage et, à vrai dire, cette perspective ne l’enchantait guère. De plus, il supportait difficilement ce genre de d’affirmation qu’il prenait pour du défaitisme. Il se doutait évidement bien que la guerre qui s’annonçait n’allait pas être facile pour eux mais il avait foi en tous les Wissenlendois en ce qui concernait leur volonté de défendre leur terre et préservé l’avenir des enfants du Wissenland et de l'Empire.

_Vous avez là de bien funestes paroles pour un sage. Mais laissez-moi vous rétorquer que le nombre seul, ne peut être le garant de la victoire, je pense que l’histoire nous apporte assez de preuve en ce sens. Je vous remercie pour votre mise en garde mais nous ne somme pas du genre à abandonner nos terres sur de telles paroles.Fit-il d’un air distant, visiblement contrarié.

Le sage fini par prendre un fruit et lui fit alors le récit de l’attaque de Wilec apportant certains points nouveaux en plus des rapports précédents. Karell écoutait Laskaris sans l’interrompre, adoptant un air plus neutre et moins crispé, s’asseyant même en face du sage. Pour mieux l’écouter. Seul le fait que les Orcs semblaient ne pas connaître le sens du mot ‘reculer’ lui fit esquisser l’ébauche d’un sourire.
Il invitât alors Laskaris à continuer après avoir évoquer de possibles rivalités internes au sein des troupes de Gorbad ce qui, d’un point de vue stratégique pouvait s’avéré intéressant. Celui-ci parlât alors du type de terrain sur lequel se trouvait Wilec. Karell, à vrai dire, n’en connaissait pas vraiment la configuration exacte à part la forte densité des forêts qui ceinturaient le village et la présence du clan elfique, probablement celui avec qui Scipion avait des contacts.
Karell ne répondit pas tout de suite à la proposition de Laskaris, préférant prendre un peux de temps pour la réflexion prenant un air songeur, le regard perdu sur la table. Il finit ensuite par le relever vers Laskaris et de reprendre la parole :


_Toute aide est la bienvenue Laskaris. Je voudrais juste savoir ce que vous êtes près à nous apporter si vous nous aidez à battre ce Gorbad, il est évident que vous serez récompensé pour cela. Mais que les choses soient claires entre nous, il est également un fait que le Wissenland se battra contre quiconque représentera une menace pour ses intérêts et ceux de l’empire et ce, que ce soit à dix contre un en notre défaveur.Karell déportât un instant le regard avant de le ramené vers Laskaris pour continuer :De plus, si Gorbad attaque une province de l’empire, c’est tout l’empire qu’il attaque, même si nous ne sommes pas assez nombreux ici, nous avons de nombreux alliés qui n’hésiterons pas à lui faire mordre la poussière.

Karell croisât alors les mains sur la table, attendant la réaction du sage. Il savait qu’il prenait un risque avec de tels affirmations et qu’un soutient des autres comtes pouvait se montrer fort aléatoire en fonction de leur qualité de souverains et il ne savait d’ailleurs pas si d’autres seigneurs prenaient par au combat…

2° Siegfried, son Etat-major et Sigisbert Stroink:

Ici aussi les discutions allaient bon train entre Siegfried et son Etat-Major et au plus elles avançaient plus le souverains se rendait compte que le Wissenland ne supporterait pas seul le choc d’une attaque massive de Gorbad, il finit part se mettre une mains sur la bouche, le regard sur les cartes avant de ce retourner vers Scipion qui se tenait juste derrière lui :

_Scipion, pouvons-nous compter sur une aide active de la part de la tribu d’elfes avec qui tu as des contacts ?

Scipion pris alors un air songeur avant de répondre

_Hé bien, cela risque d’être très délicat. Ils sont mal vu dans la région vous savez et je pense qu’il leur sera difficile de nous aider de façon active mon seigneur.
_Je vois…


Siegfried prit alors une mine pensive. Il en avait une fois vaguement entendue parlée de cette tribu d’elfes. Celle-ci avait été rejetée dans la forêt après une sordide histoire de meurtre en série dans un village. Ils avaient perdu tout statut dans la province mais ne furent pas chassé totalement. Cela donnât alors une idée au souverain qui reprit la parole

_Et si je réhabilitais leur statut de citoyens du Wissenland en les lavant de tout soupçons. Si je ne m’abuse, l’affaire qui les a vu rejeté dans la forêt était assez trouble il me semble.
_Moui, Nous pourrions le faire, mais je ne garantis rien.


Sur ce, la porte du la salle s’ouvrit et tous regardèrent vers l’entrée. Il apparut alors un garde annonçant la venue d’un ambassadeur de l’Averland. Il lui laissât alors la place et l’ambassadeur salua l’état-major avant de faire la révérence au souverain. Bien que le protocole l’exigeait’ Siegfried trouvait cela un peux superflus vu la situation mais il ne le montrât guère puis Sigisbert annonçât la raison de sa venue.
Lorsqu’il eu finit l’émissaire lâchât un petit sourire, probablement dû à une émotion quelconque fort compréhensible en ses moment d’une extrême gravité.


_Dites à votre souverain qu’il peut compter sur notre aide mais, comme lui, nous sommes attaqué par Gorbad et par conséquent cette aide sera limitée par l’emploi tactique de nos troupes pour la défense de notre propre territoire je le crains. Actuellement, je mobilise mes troupes et leur nombre doit encore m’être confirmé, dé que j’aurais des estimations plus exactes sur notre force de frappe, je serai en mesure de mieux fixer l’aide militaire pour l’Averland. Nous mobilisons également toute l’industrie pour l’effort de guerre, il est probable que nous puissions aussi vous envoyer des pièces d’artillerie et éventuellement vous procurer le savoir-faire en génie militaire d’un contingents d’ingénieurs de la province mais, encore une fois, tout ceci devra être fixer.
Je comptais également envoyer un émissaire à votre souverain pour l’informer de la situation chez nous.


Sur ce, Siegfried semblait en avoir fini avec l’envoyé d’Edouard, cependant, Scipion s’approchât de Siegfried et lui glissât quelques mots à l’oreille que personne ne put entendre. Les autres membres de l’état-major s’étaient, quand à eux, remis au travail pour la plupart, recevant des missives, étudiant les cartes, discutant discrètement, et, hors de portée de l’émissaire, des premiers projets d’assaut sur Wilec. Scipion finit par s’écarter de Siegfried qui restât un court moment le visage pensif avant de reprendre la parole :

_Sigisbert, Je voudrais également que vous préveniez votre seigneur que, en cas de coopération sur le terrain entre nos deux armées, nous devrons échanger des conseillés militaire afin que notre coordination sur le terrain soit optimale. Je pense que la menace est assez sérieuse que pour travailler en aussi étroite collaboration.

Siegfried attendit alors la réaction de l’émissaire.

3° A Kircheim:

Le soleil n’était pas encore à son zénith que les rues de la ville étaient déjà bien actives, chaque fonderie, forge et menuiserie étaient en activité, les chevaux réquisitionné étaient préparer dans les écuries pour recevoir leur cavaliers, des groupes de soldats au visage grave parcourraient les rues et des files se formaient devant les bureaux de milice. Les discutions allaient bon trains entre les habitants et toutes sortes de rumeurs circulaient mais malgré tout, les habitants gardaient un certains calme, attendant de recevoir leur affectation et de voir la suite des évènements. De temps à autre, on pouvait voir un griffon de la 6ème compagnie de griffoniers arrivée la veille, évoluant à moyen altitude vers Wilec.

Parmi la foules, s’avançait un homme de grande stature, un homme en armure mais tête nue et portant une cape avec les armoiries du compte du Wissenland. Son nom est Walther Fonck, c’est le commandeur de la garde de Kircheim. Accompagner par son aide de camps, il veux se rendre compte que la mobilisation se passe sans accros et manifestement c’est le cas. Malgré son visage inexpressif, il est assez satisfait du bon déroulement de la chose. Cet après-midi, il dois aller vérifier les fortifications de la ville ainsi que les camps aménager aux abords de Kircheim et destiné a recevoir les renforts envoyé par Nuln. Via des messagers, il reste en contact permanent avec les chef de district les plus proche et il envois régulièrement des unité observer les fait et gestes de Gordad… Gorbad, ce nom qui sème la mort et qui s’en prends a présent à la paisible province du Wissenland. Les rumeurs les plus horribles circulent sur l’attaque du village frontalier de Wilec ce qui, pour sa part, ne fait que décuplé sa haine des Orcs, des gobelin et de toutes les saloperies que Gordad peux compter dans son armée.
Il n’a pas vraiment espoir de revoir son neveu, envoyé dans ce village réputé tranquille et qui ne faisait pas partie du groupe de villageois venu les prévenir de la menace.
Il avait alors immédiatement entamé des travaux de fortification en attendant des renforts et des fortins se dressaient sur les collines proche de la ville mais aussi sur la route de Wilec où des fossés pieuté étaient creusé, des palissades hérissées de pointes enduites de poison étaient érigées ainsi que des emplacement pour l’artillerie dans un dispositif non linéaire et ce à un kilomètre ou moins de la ville. Derrière, se trouvaient les camps aménagés pour les troupes venues de Nuln et qui atteignaient déjà la ville. Il y avait un camps pour chaque axe de progression (gauche, centre et droite) plus quelques camps de moindre importance destiné a soutenir d’éventuels assauts asymétrique de la par de Gorbad.

Bien que Walther comprenait que, se jeter tête baissée dans la bataille n’était pas toujours un chois judicieux, son sentiment de vengeance le poussait irrésistiblement a aller au devant de l’ennemis et c’est avec une certaines impatience qu’il attendant les renforts de la capitale…


Dernière édition par le Ven 25 Mai - 15:21, édité 1 fois
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Gorbad
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MessageSujet: Re: Un petit village   Un petit village Icon_minitimeJeu 17 Mai - 19:24

Des chevaucheurs de loups entrèrent dans le camp orque alors que Gorbad réglait un conflit entre deux gobelins qui se disputaient un bout de viande. Le Seigneur de guerre s'énervat, attrapa l'objet du conflit et se le fourra dans la bouche. Il s'approchat ensuite du capitaine des chevaucheurs :

'lor, q'éce zy pace ?

Le gobelin sauta de sa monture et fit une espèce de courbette qui ne pouvait que paraitre ridiculle.

Lé zumin on fé dés piège oci, ça loups son t'bés d'dan. ("Ca" correspondait à deux doigts tendus bien hauts.) Mè on na vu dé chato ossi près, la ba.

L'Orque Noir eut un sourire carnassier et donna une tape dans le dos du gobelin qui faillit s'envoler. Il alla voir Rogur :

Rogur ! Tête d'of ! J'doi parlé.

Rogur se retourna rapidement en serrant son arme qu'il avait dégainé à l'appélation "tête d'of" a laquelle il n'y a aucune traduction possible en langage humain mais que seul Gorbad devait apparament prononcer sans se faire exploser la tête sous les coups de l'orque noir.

Vouy ch'f ?

Y fo euk t'ail vec eu ver le chato.

Okeu chef.


Rogur sauta sur son sanglier de combat et s'approchat de deux tribues d'orques, une "normale" et une d'orques noirs. Il leur fit un signe et se mit en route. Rapidements, cinq chevaucheurs d'araignées ainsi que deux trolls des montagnes suivirent les orques.

La petite armée se dirigeat vers un des fortins situé au sud de Wilec.
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Edwards Rüzen
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MessageSujet: Re: Un petit village   Un petit village Icon_minitimeJeu 17 Mai - 20:53

Sigisbert avait attendu la réponse du souverain longuement et avait analysé tous ses dires pour finalement se rendre compte que le seigneur du Wissenland n'avait pas compris ce qu'il avait dit.
Il tenta de réexpliquer plus clairement au souverain, ce dont il était réellement question :


-Je crois que vous m'avez mal compris monseigneur,
mon maitre, pour l'instant, ne vous demande pas votre aide mais il vous propose la sienne.
Il est pret à mettre à votre disposition plusieurs régiments stationnés non loin de nos frontiéres communes et il se propose de fortifier la limite de nos deux provinces en y envoyant des renforts.
Il serait également pret à vous apportez un soutien économique, industriel et logistique.
De plus, nous possédons une arme de taille, le fidéle serviteur du comte Edwards, le géant "Otto Karh" armé de pieds en cape comme l'un de nos meilleurs chevaliers, c'est une arme de taille qui est sure de produire son effet sur les peaux-vertes.

Il s'arretta un instant puis reprit :

-Quant à votre idée de collaboration et d'échange entre Etat-Major je ne pense pas que se soit une bonne idée en tant de guerre, un etat-major qui change perdra en efficacité et cela peut jouer sur une bataille, voire sur l'issue de cette guerre.

En effet, l'ambassadeur avait reconnu l'espion personnel du comte du Wissenland et apparemment, cette idée d'échanges entre etats-majors n'était qu'un moyen déguisé pour espionner l'Averland et les projets militaires et diplomatiques du comte Edwards Rüzen.

-Alors monseigneur, qu'en pensez vous, acceptez vous la proposition de mon noble maitre ?
Il tient ses promesses et vous viendra rapidement en aide j'en suis sure.

Il se cala alors contre le mur, certes impoliment, mais il était fatigué.
Tout en attendant la réponse du comte il chercha des yeux un fauteil ou il pourrait s'asseoir...
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Laskaris le Sage
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Laskaris le Sage


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MessageSujet: Re: Un petit village   Un petit village Icon_minitimeVen 25 Mai - 22:13

Comme si attendait Laskaris, son manque de tact en matière de politique lui avait encore fait défaut, était-ce donc un mal chez les hummain de parler directement et de d'interpréter les faits tels qu'ils sont. Enfin la question n'était pas là. Quand il entendit la proposition de recompense en échange de son aide, s'il n'était pas capable de se controler il aurait bien pu partir en éclat.

-Voyons, je ne suis pas revenue en empire pour ce genre de contrat, vous n'aurez rien a payer rassurez vous. Vous devez avoir raison encore une fois sur le point du nombres de l'amée, sauf que selon moi, votre opinion ne fonctionne qu'avec une différence raisonnable en ces deux dernière et je pense que nous ne somme pas dans se cas de figure, mais c'est a vous d'en juger. Ensuite un point ou je pourrais vous vexer et je m'en excuses : vous ne devrier pas compter sur un allié potentielle tant qu'il ne vous a pas confirmé sa loyaauté et ceci, les elfes ne le savent que trop bien.

Laskaris marqua un temps d'arret, afin de s'assurer que son interlocuteur ne se jette pas sur lui, puis il reprit.

-Bien a quoi puis je vous être utile ? Et bien après avoir reflechi, même si je ne suis pas un stratège je comprend que vous n'avez pas beaucoup de choix pour manoeuvrer vos troupes, aussi, j'entretient de très bonnes relations avec les elfes sylvains, je ne pense pas qu'ils acceptent de combattre a vos côtés, mais ils pourraient vous ouvrir leur portes pour manoeuver non pas une armée entière mais pour de simples missions... Ensuite, bien que je ne sois pas un bon stratège, j'ai suffisanment d'expérience pour organiser de manière efficace un regiment de mage, ete bien entendus mes propre compétences en magie ne sont pas anodines. Voilà j'espère vous avoir convaincu du mieux que je pouvais, car comme vous avez pu le remarquer, mon discours n'est très appréciable, il est seulement juste.

Lorsqu'il eue fini, il reprit un verre et fini de manger sa poire, en attendant la reponse du conseiller du Comte.
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